
Anonyme. J’aurais bien voulu m’enfuir de mon maitre, mais en même temps, je me sentais dominée par sa volonté et ça me rendait bizarre. Il m’a attrapée par les cheveux et m’a obligée à lécher, puis à gober son sexe. J’ai essayé de me débattre, mais sa grosse main me tenait la tête. Peu à peu, j’ai englouti sa colonne. Toujours en m’agrippant par les cheveux, il m’a imposé un mouvement de va-et-vient. De son autre main, il me donnait une claque à chaque fois que je l’effleurais avec les dents et m’ordonnait de bien lui lécher le frein. Moi, je faisais de mon mieux. J’avais l’impression d’être devenue un animal obéissant aveuglément à son maître.