
Anonyme. J’étais quand même son employé, il ne fallait pas que je commette un seul faux pas ! Mais elle m’a dit : « Vas-y, défonce-moi ! Donne-moi tout ce que tu as ! » Alors j’y suis allé ! Je lui ai claqué le cul comme jamais, j’ai serré ses seins et je lui ai même craché sur l’anus. Elle en redemandait, ses yeux se révulsaient, elle hurlait en s’accrochant aux draps. En quelques secondes à peine j’ai joui, répandant ma semence sur ses draps bien tirés. Je ne pensais pas que je lui repeindrais aussi le lit.