
Anonyme. Une longue séance de pelles et de pelotage a commencé. Son corps était de toute beauté, ses seins bien fermes, et sous mes caresses les pointes avaient bien durci. Nous nous sommes retrouvés à poil, toujours dans la cuisine, et j’ai eu droit à une pipe magistrale. Elle s’est arrêtée et m’a demandé de la prendre, si possible sans la ménager ! Je bandais comme un cerf… Elle s’est courbée et s’est appuyée sur cette desserte. Elle m’offrait son cul. Je l’ai bien doigté, elle était trempée, et sa mouille sentait bon. Je l’ai prise debout, en levrette, et j’y suis allé très fort, ce qui avait l’air de lui convenir puisqu’elle n’a pas tardé à jouir.