
Anonyme. Nous étions sur un banc à nous toucher de plus en plus intimement à travers et sous nos vêtements. Deux de ses doigts étaient profondément enfoncés en moi, les autres caressant fébrilement mon clitoris. J’étais à moitié couchée sur lui, gémissante et tremblante. Je me cambrais par instants sous les vagues de plaisir plus intenses les unes des autres. N’en pouvant plus de ce traitement pourtant délicieux, je l’ai entraîné derrière un arbre inoccupé pour m’y appuyer le dos pendant que nous nous caressions et nous embrassions.