Une nuit d’été inattendue

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Histoire-de-sexe

Salut, je m’appelle Léa, j’ai 20 ans, et franchement, je n’ai jamais été du genre à planifier mes aventures. J’aime juste laisser les choses arriver, surtout quand la chaleur de l’été rend tout un peu plus… électrique. C’était un soir de juillet, un de ces soirs où l’air est lourd, collant, et où la ville semble respirer au ralenti.

J’étais sortie avec des potes pour un verre en terrasse, rien de fou, juste pour évacuer la tension des exams qui venaient de se terminer.On était installés sur la place du village, avec des bières fraîches et des rires qui fusaient. Et là, je l’ai vu : un mec, la trentaine peut-être, avec des cheveux en bataille et un sourire qui disait « je sais ce que je fais ». Il était adossé à un lampadaire, en train de fumer une clope, et nos regards se sont croisés. Pas le genre de regard innocent, non. Le genre qui te fait sentir nue en une seconde, même si t’es habillée d’une simple robe d’été légère qui colle à la peau à cause de la sueur.Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire en premier. Mes potes ont continué à blaguer, mais moi, j’étais déjà ailleurs. Il s’est approché, l’air de rien, et a demandé si la chaise à côté était libre. « Libre comme l’air », que j’ai répondu, en sentant mon cœur accélérer un peu.

On a parlé de tout et de rien – de la musique qui passait en fond, de voyages foireux, de ces nuits où on se sent invincible. Il s’appelait Alex, et il avait cette façon de me regarder, comme si chaque mot que je disais était une invitation. Au bout d’une heure, mes potes ont levé le camp, et moi, j’ai hésité. « Tu rentres ? » qu’il a demandé, sa voix basse, presque un murmure.

J’ai haussé les épaules : « Pas encore. Et toi ? » Il a ri doucement, et sans un mot de plus, on s’est retrouvés à marcher vers le parc pas loin, celui avec les vieux bancs en bois et les arbres qui font de l’ombre même la nuit. L’air était si chaud que ma robe me semblait superflue, et je sentais la brise effleurer mes cuisses, me donnant des frissons malgré tout. On s’est assis sur un banc, nos épaules qui se touchent presque. Il a sorti une flasque de sa poche – du whisky, fort, avec un goût de bois et de péché. Un gorgée, et ses lèvres ont frôlé les miennes quand il m’a passé la flasque. Pas un baiser, pas encore, juste ce contact qui m’a fait fondre. « T’es belle quand tu ris », qu’il a dit, et là, plus de mots.

Sa main a glissé sur ma nuque, douce mais ferme, et il m’a tirée vers lui. Nos bouches se sont trouvées, chaudes, urgentes, avec ce goût d’alcool et de désir qui monte d’un coup.Je me souviens de la sensation de ses doigts sur ma peau, descendant le long de mon dos, relevant le tissu de ma robe comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Pas de précipitation maladroite, non – il savait exactement où toucher pour me faire gémir doucement contre sa bouche. J’ai passé mes mains sous son t-shirt, sentant les muscles tendus de son ventre, et j’ai tiré dessus pour le faire tomber. Sa peau était chaude, salée de sueur, et quand il m’a soulevée pour me poser sur ses genoux, j’ai senti son excitation pressée contre moi, dure et impatiente.Le parc était désert, juste le bruit des grillons et notre respiration qui s’accélère.

J’ai défait sa ceinture d’une main tremblante d’anticipation, et il a remonté ma robe jusqu’à mes hanches, ses doigts explorant là où c’était déjà humide, prêt. « Léa… », qu’il a murmuré, comme une question, et j’ai répondu en le guidant en moi, lentement, centimètre par centimètre, jusqu’à ce qu’on soit unis, fusionnés dans cette chaleur moite de l’été.C’était lent au début, nos corps qui se découvrent, mes hanches qui ondulent contre les siennes, ses mains qui agrippent mes fesses pour me guider plus profond. Puis plus vite, plus fort, avec ces petits cris que je ne pouvais pas retenir, étouffés par ses lèvres. Je sentais tout – la friction, la pression qui monte, ce picotement qui irradie de mon ventre jusqu’à mes orteils. Il a glissé une main entre nous, caressant juste là où j’en avais besoin, et j’ai basculé la première, un orgasme qui m’a traversée comme une vague, me laissant pantelante contre son épaule.Il a suivi de près, un grognement rauque contre mon cou, son corps qui se tend et se relâche en moi.

On est restés comme ça un moment, collés l’un à l’autre, le cœur battant à l’unisson, avec l’odeur de nous qui emplissait l’air. Pas de regrets, juste ce sourire complice quand on s’est rhabillés, en riant de notre audace.Le lendemain, je me suis réveillée avec un texto : « Reviens quand tu veux pour une autre nuit d’été. » Et franchement, qui sait ? L’été est long, et j’adore les imprévus.Si ça t’a plu, dis-moi ce que t’en penses – j’en ai d’autres en tête, encore plus coquines.

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