
En ano. J’adorais me sentir soumise. Et plus je me faisais traiter de tous les noms, plus je prenais mon pied. La grosse tige de mon amant dilatait à merveille mon minou trempé en levrette. Je sentais ses couilles pleines de jus battre contre mes cuisses. Un bruit de feuillage m’a fait croire un instant que l’on nous observait. Je fermais les yeux et j’imaginais qu’un inconnu était caché pas loin de là, qu’il nous matait et se masturbait en profitant du spectacle.