Ma nuit avec l’inconnu du bar

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storycoquine

Salut, c’est moi, Julie. J’ai 28 ans, et franchement, des fois j’en ai marre de ma routine de merde au boulot. Vous savez, ces journées où tu rentres chez toi crevée, et que t’as juste envie de te lâcher un peu. C’était un vendredi soir comme ça, il y a deux semaines. J’avais rien de prévu, mes copines étaient parties en week-end, et moi j’étais là, sur mon canap’, en pyjama trop large, à scroller Tinder comme une désespérée.

Et là, bim, je tombe sur son profil. Un mec, genre 30 ans, brun, avec un sourire en coin qui te fait direct fondre. Son bio ? « Cherche des aventures sans prise de tête. Si t’es curieuse, swipe right. » J’hésite pas deux secondes, j’ai liké. Et miracle, match direct. On commence à chatter, et putain, il sait y faire avec les mots. Pas de blabla chiant sur le boulot ou la météo, non, il va droit au but, mais en mode subtil, tu vois ? Ça m’a fait sourire, et en même temps, j’ai senti un petit frisson dans le ventre.

Je me souviens, j’étais encore en train de siroter un verre de vin rouge quand mon phone vibre. C’était lui. On a échangé comme ça pendant une heure, et ça montait en température petit à petit. Genre :

Moi : T’es du genre à inviter une fille inconnue pour un verre tard le soir ?
Lui : Seulement si elle a l’air d’avoir besoin d’un peu d’excitation. Et toi, Julie, t’as l’air d’en manquer ce soir.
Moi : Haha, t’as pas idée. J’suis là, toute seule, et j’avoue que ton profil m’intrigue…
Lui : Intrigue ? Dis plutôt que ça te chauffe un peu, non ? Imagine si on se croisait au bar du coin. Je te murmurerais à l’oreille ce que j’ai envie de te faire.

Oh mon Dieu, j’ai rougi comme une ado en lisant ça. Mes doigts tremblaient sur l’écran. J’ai pas répondu tout de suite, j’ai juste imaginé la scène. Lui, grand, avec ses mains sur mes hanches, son souffle chaud dans mon cou. J’ai fini mon vin d’un trait et je me suis levée pour me changer. Un jean slim qui moule bien mes formes, un top noir un peu décolleté, et hop, direction le bar du quartier. Celui où y’a toujours une ambiance tamisée, avec de la musique jazz en fond.

Je l’ai repéré direct quand je suis entrée. Il était là, au comptoir, exactement comme sur les photos, mais en vrai, encore mieux. Ses yeux m’ont scannée de haut en bas, et j’ai vu ce petit sourire en coin qui m’avait fait matcher. « Julie ? » qu’il me dit en se levant. Sa voix était grave, un peu rauque, et ça m’a fait des trucs bizarres au ventre. On s’est assis, on a commandé des shots de tequila – parce que pourquoi pas, hein ? – et là, la conversation a dérapé direct dans le coquin.

Il m’a raconté qu’il adorait les filles comme moi, indépendantes mais avec un côté sauvage caché. Moi, je lui ai avoué que j’avais pas fait ça depuis des mois, et que juste l’idée de me laisser aller avec un inconnu me rendait folle. Ses doigts ont effleuré ma cuisse sous la table, « accidentellement » au début, puis plus franchement. J’ai pas reculé. Au contraire, j’ai senti la chaleur monter entre mes jambes, et j’ai pressé ma main sur la sienne pour qu’il continue. Putain, c’était électrique. On a ri, on s’est embrassés là, au bar, sans se soucier des regards. Sa langue dans ma bouche, possessive, affamée. J’en voulais plus.

On a pas tenu longtemps. « Viens chez moi, » qu’il murmure à mon oreille, sa main dans le bas de mon dos. J’ai hoché la tête, le cœur qui bat la chamade. Chez lui, c’était un appart cosy, avec des lumières tamisées et un lit king size qui appelait au péché. À peine la porte fermée, il m’a plaquée contre le mur, ses lèvres sur mon cou, ses mains qui glissent sous mon top pour caresser ma peau nue. J’ai gémi, je l’ai attiré plus près, sentant son corps dur contre le mien. On s’est déshabillés à la va-vite, riant de nos maladresses, mais bordel, c’était si bon.

Il m’a portée jusqu’au lit, et là… oh là. Ses baisers descendaient sur mon corps, lents, taquins. Il savait exactement où appuyer, où lécher pour me faire cambrer. J’ai agrippé les draps, haletante, en le suppliant de continuer. Quand il est enfin entré en moi, c’était comme une explosion. Lent d’abord, puis plus fort, nos corps qui claquent l’un contre l’autre, nos gémissements qui remplissent la pièce. J’ai joui la première, en criant son nom – j’ai même oublié comment il s’appelait, haha – et lui juste après, en se crispant contre moi.

Après, on est restés là, en sueur, enlacés, à rigoler de rien. Pas de promesses, pas de bla-bla sentimental. Juste une nuit parfaite, coquine à souhait. Le lendemain matin, un café rapide, un baiser volé, et c’était fini. Mais putain, quel souvenir. Si t’es comme moi, et que t’as besoin d’un peu d’excitation, swipe right la prochaine fois. Qui sait ce qui t’attend ?

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