Mon petit secret au bureau

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storycoquine

Salut, c’est moi, Julie, 28 ans, et franchement, la vie au boulot c’est un peu monotone ces temps-ci. Je bosse dans un open space géant, entourée de collègues qui parlent que de foot ou de séries Netflix. Mais y a deux semaines, ils ont embauché ce nouveau, Alex. Grand, cheveux en bataille, un sourire qui te fait fondre direct. Au début, je l’ai juste remarqué parce qu’il s’est assis à deux bureaux du mien. Et puis, un soir de deadline tardive, on s’est retrouvés seuls à traîner pour finir un rapport chiant.

J’étais stressée, mes doigts volaient sur le clavier, et lui, il me lance comme ça : « T’as l’air d’avoir besoin d’un café… ou d’un truc plus fort ? » J’ai ri, un peu trop fort peut-être, et on a commencé à papoter. De tout et de rien. De comment Paris est trop chère, de nos films préférés. Et là, sans que je sache comment, on a échangé nos numéros. « Pour les urgences pro », qu’il a dit avec un clin d’œil. Ouais, bien sûr.

Le lendemain matin, mon téléphone vibre pendant la pause café. C’était lui. Et depuis, c’est parti en vrille totale. Genre, ces messages qui commencent innocents et finissent… eh ben, voilà. J’ai pas pu résister, j’ai répondu, et maintenant, je repense à tout ça en rougissant comme une ado. Laissez-moi vous raconter comment c’est parti, parce que putain, c’était chaud.

Moi : Salut Alex, bien dormi après notre soirée clavier ? 😏

Lui : Hey Julie ! Ouais, mais j’ai rêvé de deadlines… et d’une certaine collègue qui rit trop fort. Et toi ?

Moi : Haha, moi j’ai pensé à ton sourire. C’est dangereux au boulot, ça distrait.

Lui : Distrayant ? Attends de voir ce que je peux faire d’autre. Genre, t’imaginer en train de déstresser… avec mes mains sur tes épaules. Ou plus bas.

Moi : Oh la la, t’es direct toi ! Et si on testait ça un soir, après le boulot ? Mon appart est pas loin.

Lui : Deal. Vendredi ? J’apporte le vin… et l’idée de te faire oublier tous les rapports du monde.

Le vendredi est arrivé plus vite que prévu. J’ai passé la journée à gigoter sur ma chaise, à me demander si j’allais vraiment le faire. Mais quand il est passé me chercher à la machine à café, avec sa chemise un peu ouverte sur son torse, j’ai su que oui. On a marché jusqu’à chez moi, l’air chargé d’électricité, comme si chaque pas nous rapprochait un peu plus. À peine la porte fermée, ses lèvres étaient sur les miennes, affamées, et mes mains glissaient sous sa chemise pour sentir sa peau chaude.

Il m’a soulevée comme si j’étais légère, mes jambes autour de sa taille, et on a atterri sur le canapé. Ses doigts exploraient partout, effleurant mes cuisses, remontant sous ma jupe, me faisant gémir sans que je puisse me contrôler. « T’es si douce », qu’il murmurait contre mon cou, pendant que je tirais sur sa ceinture, impatiente. On s’est déshabillés à moitié, essoufflés, et là, il m’a embrassée plus bas, ses lèvres traçant un chemin brûlant jusqu’à mon ventre. J’ai arquée le dos, les ongles dans ses cheveux, et quand sa langue a touché là où ça comptait, j’ai cru exploser. C’était lent, taquin, il savait exactement comment me rendre folle.

Et moi, je voulais lui rendre la pareille. Je l’ai poussé sur le dos, grimpant sur lui, sentant sa dureté contre moi. Mes mains ont glissé le long de son corps, le caressant, le provoquant jusqu’à ce qu’il grogne mon nom. On s’est perdus l’un dans l’autre, nos corps en rythme, transpirants, urgents. C’était pas juste du sexe, c’était comme si toute la tension du boulot se libérait en vagues de plaisir. À la fin, on est restés enlacés, essoufflés, et il m’a chuchoté : « On recommence quand ? »

Maintenant, au bureau, nos regards se croisent et on sourit en secret. C’est notre petit jeu, et franchement, j’ai hâte du prochain round. Si t’as déjà vécu un truc comme ça, raconte-moi… ou pas, garde tes secrets. Moi, je retourne à mon clavier, avec un frisson qui me parcourt encore.

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