Salut, c’est moi, encore une fois. Tu sais, ces nuits où je scroll sur des apps bizarres, cherchant un frisson qui me sort de ma routine de bureau ennuyeuse. J’ai 28 ans, cheveux châtains en pagaille, et un job qui me bouffe l’âme – assistante marketing, rien de sexy là-dedans. Mais bon, la vie est courte, non ? L’autre soir, j’ai matché avec ce mec, Alex, sur une app un peu… spéciale. Pas Tinder, hein, une de celles où on met direct ses kinks en bio. Le mien ? Soumission légère, avec un soupçon de douleur qui fait monter l’adrénaline. Lui, il disait « Dom expérimenté, cherche muse pour explorer les limites ». J’ai ri au début, mais son profil avait ces photos floues de cordes et de menottes qui m’ont fait frissonner.
On a commencé à chatter, et vite, ça a dérapé dans le bon sens. Pas de blabla sur le boulot ou la météo – direct au vif. J’étais sur mon canap’, en legging et t-shirt trop grand, un verre de vin à la main, et mes doigts volaient sur l’écran. C’était comme si on se connaissait déjà, comme si il lisait dans mes fantasmes les plus sombres.
Mon cœur battait la chamade en taxi. J’avais enfilé cette jupe en cuir noire que je garde pour les occasions rares, et ouais, rien dessous comme il voulait. L’air frais sur ma peau me rendait déjà folle, mes cuisses se serraient toutes seules. Arrivée devant sa porte, j’ai hésité deux secondes – est-ce que je suis dingue ? – mais j’ai frappé. Il a ouvert, grand, tatoué sur les bras, yeux verts qui percent comme des lasers. « Entre, ma belle, » qu’il a murmuré, et sa voix grave m’a fait fondre direct.

À l’intérieur, c’était pas un donjon de film pornos, juste un appart cosy avec une chambre aux lumières tamisées. Mais il avait tout préparé : des cordes rouges enroulées sur la chaise, un fouet en cuir souple sur le lit, et ces pinces à tétons qui scintillaient sous la lampe. Il m’a fait asseoir, m’a offert un verre d’eau – consentement first, you know – et on a fixé nos safewords. Rouge pour stop, jaune pour pause. Moi, je tremblais déjà d’excitation.
Il a commencé doucement, en me déshabillant du regard d’abord. « À genoux, » il a ordonné, et j’ai obéi, le sol froid contre mes genoux. Ses mains dans mes cheveux, tirant juste assez pour que ça pique. Puis les cordes. Il m’a attaché les poignets derrière le dos, serré mais pas trop, et m’a guidée vers le lit. Allongée sur le ventre, vulnérable, j’entendais son souffle calme pendant qu’il nouait mes chevilles aux barreaux. « Tu es à moi ce soir, » il a soufflé à mon oreille, et un frisson a remonté mon échine.
Le premier coup de fouet a claqué sur mes fesses – pas fort, juste une chaleur qui irradie. J’ai gémi, et ça l’a excité, je le voyais à la bosse dans son pantalon. « Compte, » il a dit. Un… deux… à dix, ma peau brûlait, rouge et sensible, et entre mes jambes, c’était trempé. Il m’a retourné, m’a écarté les cuisses avec ses genoux, et a glissé ses doigts là où j’en pouvais plus. « Supplie-moi, » il a grogné. « S’il te plaît, Maître… touche-moi plus, » j’ai haleté, la voix cassée. Et il l’a fait, lent, torturant, jusqu’à ce que je jouisse en hurlant son nom, les cordes mordant ma peau.
Après, il m’a détachée doucement, m’a massée les marques, m’a tenu contre lui. On a ri un peu, bu du vin, et j’ai filé au petit matin avec un sourire niais et des bleus qui me rappellent tout. C’était pas comme mes autres histoires – pas de rôle-play fancy, juste pur, brut, et tellement bon. Si tu veux en savoir plus, ou une suite… dis-moi.