Mon père m’a baisé cette nuit

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Histoire-de-sexe

Anonyme, ouais. J’ai 22 ans, et je bosse comme serveuse dans un café du centre-ville – ces shifts interminables où tu te fais peloter par des clients bourrés, mais qui te laissent le temps de rêvasser à des trucs interdits. Chez moi, c’est la merde depuis que Papa est rentré du divorce, veuf de Maman trop tôt, et qu’on s’est retrouvés juste tous les deux dans cette baraque trop grande. Au début, c’était innocent : des câlins sur le canapé pour combler le vide, ses bras forts autour de moi quand je chialais sur un mec nul.

Mais putain, la tension a viré au tabou un soir d’orage, quand la foudre a claqué et qu’on s’est réfugiés sous la couette comme des gosses.C’était agréable de s’abandonner à ce moment de plaisir sans avoir à se soucier de quoi que ce soit : vivant sous le même toit, notre désir l’un pour l’autre suffisait. Il était là, torse nu, son odeur de savon et de musc qui m’étouffait presque, et moi en nuisette fine qui collait à ma peau moite. « Viens plus près », qu’il a murmuré, sa voix grave qui vibrait en moi, et j’ai obéi, glissant ma jambe sur la sienne.

Bordel, je sentais déjà sa queue durcir contre ma cuisse, épaisse, insistante, et dans ma tête, je me disais : « T’es une salope perverse, à bander pour ton propre père, mais arrête pas, c’est trop bon. »Ses mains ont remonté mes hanches, hésitantes au début, puis avides, relevant le tissu pour caresser ma peau nue. Pas de mots tabous, juste des souffles saccadés quand ses doigts ont frôlé mon string trempé. « Papa… », que j’ai gémi sans réfléchir, et ça l’a fait grogner, comme un animal qui lâche prise. Il m’a retourné sur le dos, ses yeux sombres dans les miens, et a écarté mes cuisses d’un geste possessif. Sa bouche a trouvé mon cou, mordant doucement, pendant qu’il se frottait contre moi, sa bite qui pulse à travers son boxer. « T’es à moi, ma fille », qu’il a soufflé, et merde, ces mots m’ont fait mouiller encore plus – cru, interdit, parfait.Il a baissé son boxer, libérant ce monstre que j’avais fantasmé en secret, veiné, courbé juste comme il faut, et il l’a guidé contre mon entrée sans capote, peau contre peau, comme si c’était naturel. « Dis-moi d’arrêter si tu veux », qu’il a dit, mais je l’ai attiré plus près : « Non, baise-moi, Papa, j’en crève d’envie. » Et il l’a fait, enfonçant d’un coup lent, étirant mes parois serrées autour de lui. Oh putain, ça faisait mal et ça faisait du bien – 18 centimètres de taboo pur qui me remplissaient, cognant au fond avec une douceur bestiale. Je serrais les draps, mes ongles dans son dos, et on bougeait ensemble, un rythme primal, ses couilles qui claquent contre mes fesses humides.

À moi-même, je balançais : « T’es foutue, une vraie chienne incestueuse, et t’adore ça. » Il accélérait, suant, ses muscles qui se tendent, et il a glissé une main pour pincer mon clito gonflé, me faisant cambrer comme une possédée. La pression montait vite, trop vite – l’orage dehors, nos gémissements qui se mêlent, et j’ai joui la première, un cri étouffé contre son épaule, mes jus qui coulent autour de sa queue. « C’est ça, jouis pour Papa », qu’il a grogné, et deux poussées plus tard, il s’est figé, se vidant en moi en jets chauds, profonds, marquant ce qui était déjà sien.On est restés enlacés après, son sperme qui fuit lentement de moi, et il m’a embrassée sur le front comme avant, mais avec une faim nouvelle dans les yeux. « C’était mal, mais putain, c’était nous. » Depuis, on recommence, en cachette, sous ce toit qui cache nos secrets. Si t’as osé lire jusqu’ici et que ça t’a chauffé, avoue – j’en ai d’autres, encore plus sombres.

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