Il me donne bientôt ses bourses à lécher

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Il me donne bientôt ses bourses à lécher puis à gober, lourdes et chaudes contre mes lèvres, leur peau ridée qui se tend sous ma langue avide. Je les aspire doucement, une après l’autre, en les faisant rouler dans ma bouche comme des fruits mûrs, pendant que son sexe durcit au-dessus de mon visage, frôlant mes joues de sa veine palpitante. Ses caresses ont abandonné ma poitrine, où mes tétons encore dressés regrettent déjà la pression de ses paumes, et glissent lentement le long de mon nombril, traçant des sillons de feu sur ma peau frémissante. En douces arabesques, ses doigts effleurent mon ventre plat, descendant inexorablement vers le bas, vers ce sanctuaire que je lui offre sans réserve.

Il atteint enfin ma chatte glabre, lisse et offerte comme une invitation muette, et là, il s’amuse, oh oui, il s’amuse avec une malice infinie. Son index danse sur mon mont de Vénus, le caresse en cercles lents, presque paresseux, faisant gonfler ma chair sous ses attentions. Puis, il frôle ma fente, du haut en bas, si légèrement que c’est une torture exquise, un effleurement qui me fait cambrer les hanches malgré moi. Il agace mon clito avec une légèreté diabolique, le pinçant du bout du doigt, le faisant tourner comme un bouton sensible, envoyant des décharges électriques qui irradient jusqu’au creux de mes reins. Je suis tout ouverte pour lui, mes lèvres intimes écartées comme des pétales humides, vulnérable et impudique, mouillée à en couler sur les draps froissés. Ma cyprine coule abondamment, visqueuse et chaude, me chatouillant le long de l’intérieur des cuisses, traçant des rivières de désir qui me rendent folle d’impatience.

J’ai ses deux couilles dans la bouche, gonflées de son excitation, quand il crispe soudain deux doigts – non, trois, voraces et impatients – qu’il m’enfonce d’un coup au fond du vagin, sans préavis, me remplissant d’un seul élan brutal et délicieux. Je hoquette autour de ses bourses, ma salive qui coule sur son périnée, tandis que ses doigts s’enfoncent plus profond, courbés pour appuyer juste là, sur ce point secret qui me fait voir des étoiles. Il les remue, les tourne, les écarte pour explorer mes parois soyeuses, aspirant à chaque mouvement un peu plus de ma mouille qui gicle autour de sa main. « T’es une fontaine, ma salope », qu’il grogne d’une voix rauque, et je ne peux que gémir en réponse, mes hanches qui se soulèvent pour l’accueillir plus loin, plus fort. Ses autres doigts libres pincent mon clito gonflé, le malmènent sans pitié, et je sens l’orgasme monter, inexorable, comme une vague qui s’amasse au fond de moi.

Mais il ne s’arrête pas là, oh non, il sait exactement comment me pousser à bout. Il retire ses couilles de ma bouche avec un pop humide, me laissant haletante, la langue pendante comme une chienne en chaleur, et il se redresse légèrement pour aligner son gland contre mes lèvres. « Suce-moi pendant que je te doigte », ordonne-t-il, et j’obéis, avale son sexe d’un coup de reins de la tête, le sentant buter au fond de ma gorge tandis que ses doigts continuent leur assaut impitoyable en bas. Je suis empalée des deux côtés, la bouche et la chatte violées par lui, par son rythme effréné qui me synchronise comme un piston. Ma cyprine ruisselle maintenant sur son poignet, éclaboussant mes fesses, et je sens mes muscles se contracter autour de ses doigts, les serrant comme un étau. L’orgasme explose enfin, me traversant comme un éclair, mes cris étouffés par sa queue qui pulse contre mon palais. Il rit, un rire sombre et triomphant, et retire ses doigts pour les porter à ma bouche, me forçant à les lécher propres, goûtant mon propre nectar salé pendant qu’il commence à me baiser la gorge plus fort, prêt à déverser sa semence au plus profond de moi. Et moi, je m’abandonne, comblée, insatiable, prête pour la suite de cette nuit sans fin.

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