La nuit inoubliable où j’ai découvert les plaisirs interdits avec mon inconnu du chat en ligne

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storycoquine

Salut, c’est moi, Julie, 28 ans, célibataire depuis trop longtemps. Vous savez, ces soirées où tu rentres chez toi après une journée de boulot pourrie, et que t’as juste envie de… quelque chose d’excitant ? Ouais, ben moi c’était comme ça ce vendredi-là. J’avais scrollé sur mon phone pendant des heures, rien de ouf sur les apps de dating habituelles. Et puis, je me suis dit : pourquoi pas un chat anonyme en ligne ? Genre, pas de photos, juste des mots qui chauffent l’imagination.

J’ai cliqué sur ce site un peu shady que j’avais vu en story Insta, et bam, je suis connectée. Pseudo : « FilleCurieuse75 ». J’attends, le cœur qui bat un peu plus fort que d’habitude. Et là, un message pop : « InconnuMystere » veut discuter. Ok, pourquoi pas. On commence soft, on parle de tout et de rien – le boulot, la pluie à Paris, nos films préférés. Mais vite, ça dérape vers le perso. Il me demande ce que je porte ce soir. Je souris toute seule dans mon salon, en legging et débardeur fin. Je tape :

Moi : Un legging tout simple et un débardeur qui laisse deviner un peu… Et toi ?
Lui : Hmm, intriguant. Moi, torse nu après la gym, short de sport qui serre juste ce qu’il faut. T’imagines ?

Oh putain, mon ventre se serre direct. Je sens une chaleur monter, là, en bas. On continue comme ça, des échanges qui deviennent de plus en plus chauds. Il décrit comment il m’attraperait par la taille si on était ensemble, ses mains fortes glissant sous mon haut. J’hésite, mais je réponds, les doigts qui tremblent sur l’écran.

Le lendemain, on décide de se voir. Pour de vrai. Un bar discret dans le Marais, vers 22h. J’arrive en avance, nerveuse, un verre de vin rouge à la main pour me calmer. Et il entre : grand, brun, yeux verts qui percent direct. Sourire en coin, comme s’il savait déjà tout de moi. On parle, on rit, mais l’air est chargé, électrique. Ses genoux frôlent les miens sous la table, et je jure que c’est pas un hasard.

Après deux verres, il murmure : « Et si on continuait chez moi ? » Mon cœur explose. Oui. On sort, on marche vite dans la nuit fraîche, sa main dans la mienne. Chez lui, c’est un petit appart cosy, lumières tamisées. À peine la porte fermée, il me plaque contre le mur, ses lèvres sur les miennes. Chaud, urgent, sa langue qui danse avec la mienne. Ses mains partout – sur mes hanches, remontant pour caresser mes seins à travers le tissu fin. Je gémis sans pouvoir me retenir, mes ongles dans son dos.

Il me porte jusqu’au lit, comme si j’étais légère comme une plume. Il enlève mon haut lentement, ses yeux rivés sur moi, affamés. « T’es magnifique », qu’il souffle, avant de descendre, sa bouche sur ma peau, traçant un chemin de feu jusqu’à mon ventre. Je suis trempée, déjà, quand ses doigts glissent sous mon jean, effleurant là où j’en peux plus. Il sait exactement quoi faire – des cercles lents, puis plus rapides, me faisant cambrer le dos, supplier pour plus.

Et puis, il entre en moi. Lentement d’abord, pour me laisser le temps de m’habituer à sa taille, à cette sensation de plénitude qui me remplit tout entière. On bouge ensemble, en rythme, nos corps qui claquent doucement, sa respiration rauque contre mon oreille. Je griffe ses épaules, je mords son cou, et il accélère, plus fort, plus profond. Les vagues montent, inexorables, jusqu’à l’explosion – je crie son nom (ou son pseudo, peu importe), mon corps qui tremble sous le sien.

Après, on reste enlacés, essoufflés, en sueur. Il caresse mes cheveux, et je pense : c’était pas juste du sexe, c’était… intense. Le genre de nuit qui te marque, qui te donne envie de recommencer. Et qui sait, peut-être qu’on se reverra. Pour l’instant, je savoure juste le souvenir, ce frisson qui persiste encore au creux de moi.

Fin. Ou pas ? 😏

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