Comment j’ai craqué pour mon beau-père et notre secret interdit qui m’a rendue accro

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Salut, c’est moi, Léa, 22 ans, étudiante en psycho qui passe ses nuits à rêvasser au lieu de réviser. Ma vie, c’était le bordel depuis que maman s’est remariée il y a trois ans avec Marc. Il a 45 ans, un corps de routier – musclé, buriné par le soleil, avec ces tatouages qui remontent sur ses bras quand il enlève sa chemise. Au début, je le détestais, ce type qui prenait la place de papa dans la maison. Mais putain, petit à petit, j’ai commencé à le mater en cachette. Ses regards qui s’attardaient un peu trop sur moi quand je sortais de la douche en serviette, ou quand je portais ces shorts courts en été. C’était mal, je le savais, un vrai tabou familial, mais ça m’excitait grave. Et un soir, tout a basculé.

C’était l’été dernier, maman était partie en voyage avec ses copines pour une semaine, et on s’est retrouvés seuls à la maison. Moi, je traînais en pyjama fin, ces petits shorts qui moulent mes fesses et un top qui laisse deviner mes seins sans soutif. Marc bossait tard, rentrait crevé, mais ce soir-là, il a proposé qu’on regarde un film ensemble sur le canap’. J’ai dit oui, le cœur qui battait déjà un peu trop fort. On s’est installés, une bière à la main, et le film était nul, un truc d’action prévisible. Mais sa cuisse contre la mienne, sa chaleur qui irradiait… J’arrivais pas à me concentrer. À un moment, il a passé son bras autour de mes épaules, genre « confort », et j’ai senti son pouce caresser mon bras. J’ai frissonné, et il a dû le sentir, parce qu’il a tourné la tête vers moi, ses yeux sombres qui me fixaient.

« T’es devenue une sacrée femme, Léa », il a murmuré, sa voix rauque comme du gravier. J’ai rougi, bafouillé un truc con, mais au lieu de m’éloigner, je me suis collée un peu plus. Et là, sans un mot, il a penché la tête et m’a embrassée. Pas un bisou chaste, non, un baiser vorace, sa langue qui forçait mes lèvres, ses mains qui descendaient sur mes hanches. J’ai gémi dans sa bouche, mes doigts dans ses cheveux poivre et sel. C’était interdit, tordu, mais bordel, c’était électrique. On s’est déshabillés à la va-vite, ses mains rugueuses sur ma peau douce, pinçant mes tétons jusqu’à ce que je halète.

Moi : Marc, on peut pas… Maman va nous tuer si elle savait.
Lui : Chut, bébé, c’est notre secret. Laisse-moi te montrer à quel point t’es désirable.

Il m’a soulevée comme une plume et m’a emmenée dans sa chambre – celle de maman, putain, ça rendait tout encore plus sale. Il m’a jetée sur le lit, écarté mes cuisses, et sa bouche… Oh mon Dieu, sa barbe qui grattait l’intérieur de mes jambes, sa langue qui lapait mon clito comme un affamé. J’étais trempée, arquée, en train de supplier pour plus. « T’es si douce, si serrée », il grognait entre deux coups de langue, et j’ai joui comme jamais, les ongles enfoncés dans son dos, criant son nom dans l’oreiller pour pas réveiller les voisins.

Après, il s’est redressé, son sexe énorme, veiné, qui pulsait contre mon ventre. J’ai voulu le toucher, le caresser, mais il m’a plaquée sur le matelas et est entré en moi d’un coup sec. Lent au début, pour me laisser m’habituer, puis plus fort, ses hanches qui claquaient contre les miennes. Je sentais chaque centimètre, chaque poussée qui me remplissait, me faisait voir des étoiles. On baisait comme des bêtes, en sueur, en gémissements étouffés. Il me retournait, me prenait par derrière, une main sur ma bouche pour que je crie pas trop fort, l’autre qui pétrissait mes seins. Quand il a joui, c’était un torrent chaud qui m’a fait basculer une seconde fois, tremblante et comblée.

Le lendemain, on a fait comme si de rien n’était – petit-déj en famille quand maman est rentrée. Mais nos regards se croisaient, pleins de promesses. Depuis, c’est notre vice secret : des textos volés, des touchers furtifs en cuisine. Et chaque fois qu’on peut, on recommence, plus intense, plus risqué. Marc, t’es mon tabou préféré, celui qui me fait mouiller rien qu’en y pensant. J’espère que ça durera forever.

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