Mon secret avec la voisine

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storycoquine

Coucou, moi c’est Léa, 30 ans, célibataire depuis un bail, et j’habite un petit appart en rez-de-chaussée dans un immeuble un peu vieillot en banlieue. Ma vie c’est boulot en agence de pub, séries Netflix le soir, et des rêves un peu fous que j’ose jamais réaliser. Mais y’a cette voisine du dessus, Emma, qu’est arrivée y’a trois mois. Elle a 27 ans, des cheveux roux qui cascadent jusqu’aux épaules, un rire qui traverse les murs, et un corps athlétique genre runner. Au début, on se croisait juste dans l’escalier, un sourire, un « salut » timide. Mais un soir, j’ai entendu de la musique douce filtrer de chez elle, et j’ai osé frapper pour lui demander de baisser un peu – en vrai, j’espérais juste discuter.

Le contexte ? C’était mi-août, une chaleur étouffante qui rendait l’air collant, et j’étais en short et débardeur fin, en sueur après une journée pourrie. Elle m’a ouvert en legging moulant et top cropped, essuyant son front avec un sourire malicieux. On a papoté cinq minutes sur la canicule, puis elle m’a proposé un thé glacé. « Entre, Léa, on va se rafraîchir ensemble. » Son appart était cosy, avec des plantes partout et une odeur de vanille. On s’est assises sur son canap’, et vite, la conversation a viré aux confidences : nos ex foireux, nos envies inavouées. J’ai avoué que j’avais toujours fantasmé sur une nana, sans jamais tester. Elle a ri, ses yeux pétillants : « Moi, j’ai testé, et c’est… libérateur. »

Et là, l’ambiance a changé. Elle s’est rapprochée, son genou frôlant le mien, et on a échangé nos numéros pour « continuer plus tard ». Mais ce soir-là, après mon départ, les messages ont fusé, chargés d’électricité. Voilà un extrait, ça m’a gardée éveillée toute la nuit :

Moi : Ton thé était top, mais ta compagnie encore plus. J’arrête pas de repenser à ce que t’as dit sur tes expériences… Ça m’intrigue grave.

Elle : Haha, curieuse va ! Imagine si on explorait ça ensemble. Tes lèvres ont l’air si douces, j’aimerais les goûter sous cette chaleur.

Moi : Oh wow, Emma… Mon cœur bat fort là. Et si on recommençait demain ? Chez moi, cette fois ?

Elle : Deal. Prépare-toi, je vais te montrer comment une caresse peut tout changer. Dors bien… ou pas. 😏

Le lendemain, elle est descendue vers 20h, avec une bouteille de vin rosé et ce regard qui promettait des ennuis délicieux. On a trinqué sur mon balcon minuscule, le soleil couchant qui peignait tout en rose. La tension montait, nos rires se mêlaient, et quand elle a posé sa main sur ma cuisse, j’ai pas reculé. « T’es sûre ? » elle a murmuré, et j’ai hoché la tête, le souffle court. On s’est embrassées là, doucement d’abord, ses lèvres pleines et chaudes contre les miennes, sa langue qui effleurait, taquine. Putain, c’était comme une étincelle qui allume un feu.

Elle m’a guidée à l’intérieur, on s’est effondrées sur le tapis du salon – pas besoin de lit pour commencer. Ses mains ont glissé sous mon débardeur, caressant mes seins avec une douceur experte, pinçant juste assez pour me faire frissonner. J’ai exploré son corps à mon tour, surprise par la douceur de sa peau, la courbe de ses hanches. Elle m’a enlevée mon short, et ses doigts ont dansé sur mon intimité, légers comme une plume, puis plus insistants, me faisant cambrer et gémir sans retenue. « T’es si sensible, Léa, » elle chuchotait, en descendant pour embrasser l’intérieur de mes cuisses, sa bouche chaude qui approchait, me torturait.

Quand sa langue m’a enfin touchée, là en bas, j’ai cru fondre. C’était lent, circulaire, alternant succions douces et coups de langue plats qui me faisaient voir flou. Mes mains dans ses cheveux roux, je la pressais contre moi, haletante. Elle a glissé deux doigts en moi, courbés pile au bon endroit, et j’ai joui vite, fort, un cri étouffé contre un coussin. Mais elle voulait plus ; elle s’est redressée, nue maintenant, magnifique, et m’a attirée sur elle. Nos corps se sont enlacés, frottant l’un contre l’autre, nos clitos qui se cherchaient, glissants de désir. On roulait, on se mordillait les épaules, le cou, dans un rythme syncopé qui montait, montait…

Je l’ai sentie se tendre, ses ongles dans mon dos, et on a explosé ensemble, un orgasme partagé qui nous a laissées tremblantes, en sueur, à haleter. Après, on a ri nerveusement, enroulées dans un plaid, à siroter le vin directement à la bouteille. C’était pas juste du sexe, c’était une découverte, intime et addictive. Depuis, on se voit en cachette, des nuits volées entre nos vies normales. Et toi, t’as déjà franchi une ligne comme ça ? Ça vaut le coup, crois-moi.

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