Salut, c’est moi, Julie, 28 ans, et j’ai toujours été du genre à flirter un peu partout, mais là, c’était différent. C’était un vendredi soir banal, j’étais sortie avec des copines dans ce petit bar du centre-ville, vous savez, celui avec les lumières tamisées et la musique qui pulse juste assez pour te faire bouger les hanches sans hurler. J’avais mis ma robe noire toute simple, celle qui moule juste ce qu’il faut mes courbes, et mes talons qui claquent sur le sol comme un appel au danger.
Je sirotais mon cocktail, un truc sucré et fort, quand je l’ai vu. Il était là, au bout du comptoir, grand, avec des épaules larges sous sa chemise un peu froissée, et un sourire en coin qui disait « je sais ce que je veux ». Nos regards se sont croisés, et boom, cette étincelle, tu vois ? Celle qui te fait serrer les cuisses sans raison. Il s’est approché, commandé une bière, et on a commencé à papoter de tout et de rien. De la pluie, du boulot chiant, mais ses yeux à lui, ils glissaient sur moi comme une caresse.

Plus tard, on a échangé nos numéros. J’étais déjà un peu pompette, le cœur qui battait fort, imaginant déjà ses mains sur ma peau. Le lendemain matin, réveil avec un mal de tête et un sourire idiot. Mon téléphone a bipé, et c’était lui. On a commencé à texter comme des ados, et franchement, c’était chaud dès le début.
Putain, son message m’a fait rougir toute seule dans mon lit. J’ai hésité, puis j’ai tapé, le ventre qui se nouait d’excitation.