Salut, c’est moi, Julie. J’ai 28 ans, et franchement, ma vie sexuelle était un peu plate ces derniers temps. Tu sais, le boulot, les potes, Netflix… rien de bien excitant. Mais l’autre soir, tout a basculé. J’étais sur Tinder, juste pour rigoler, et boom, ce mec, Alex. Son profil : un sourire en coin, des yeux qui te transpercent l’écran, et une bio qui disait « Prêt à explorer les côtés sombres de la nuit ». J’ai swipe right sans hésiter.
On a matché direct, et les messages ont commencé à fuser. Au début, c’était innocent : « Salut, t’as l’air d’une aventurière », qu’il m’a dit. Moi, j’ai répondu un truc banal genre « Ouais, j’aime les surprises ». Mais vite, ça a chauffé. J’étais là, allongée sur mon lit, en pyjama tout simple, et mes doigts volaient sur l’écran. Mon cœur battait plus fort, et je sentais déjà une chaleur monter entre mes cuisses. C’était comme si on se connaissait depuis toujours, mais avec ce frisson d’inconnu qui rend tout plus intense.
J’ai ri, mais en vrai, j’étais trempée. J’ai sauté du lit, enfilé une robe noire toute courte, celle qui moule mes courbes juste comme il faut – mes seins qui pointent un peu, mes hanches qui ondulent quand je marche. Pas de soutif, pour le fun. Et hop, direction le bar du coin, celui avec les lumières tamisées et la musique qui pulse dans les veines.

Il était là, adossé au comptoir, une bière à la main. Grand, musclé sans en faire trop, avec une barbe de trois jours qui me donnait envie de la gratter avec mes ongles. Nos regards se sont croisés, et c’était électrique. On s’est serrés la main, mais sa paume était chaude, presque possessive. On a bu un verre, deux, en se racontant des conneries, mais sous la table, son genou frôlait le mien. Chaque fois, un frisson remontait le long de ma jambe, droit vers mon ventre.
« Viens, on sort d’ici », qu’il a murmuré à mon oreille, sa voix grave comme un ronronnement. J’ai hoché la tête, la gorge sèche. Dehors, l’air frais m’a giflée, mais ça n’a rien calmé. On a marché jusqu’à sa voiture, et là, contre la portière, il m’a plaquée doucement. Ses lèvres sur les miennes, dures, affamées. Sa langue qui danse avec la mienne, et ses mains qui glissent sur mes hanches, remontent sous ma robe. J’ai gémi dans sa bouche quand ses doigts ont effleuré ma culotte, déjà trempée.
Pas de messages cette fois, juste l’action. Chez lui, c’était un bordel charmant – livres partout, lit king size qui appelait au péché. Il m’a portée jusqu’au lit, comme si j’étais légère comme une plume. Sa bouche a exploré mon cou, mes seins qu’il a libérés d’un geste expert. Ses dents qui pincent mes tétons, juste assez pour que je cambre le dos et que mes ongles s’enfoncent dans son dos. « T’es si belle quand tu te laisses aller », qu’il a grogné, en descendant plus bas.
Ses lèvres sur mon ventre, puis plus bas encore. J’ai écarté les jambes sans réfléchir, offerte. Sa langue… oh mon Dieu, sa langue sur mon clito, lente d’abord, puis affamée. Je tirais sur ses cheveux, mes hanches qui se soulèvent pour en avoir plus. « Alex… s’il te plaît… », que je haletais. Il a ri contre ma peau, et ça m’a fait vibrer partout. Puis il a glissé deux doigts en moi, courbés juste là, au bon endroit. J’ai explosé, les yeux fermés, le corps qui tremble comme une feuille.
Mais c’était pas fini. Il s’est redressé, son sexe dur contre ma cuisse, énorme et prêt. « Dis-moi ce que tu veux », qu’il a dit, les yeux dans les miens. « Toi. Tout de suite », que j’ai répondu, la voix rauque. Il est entré en moi d’un coup, profond, et on a bougé ensemble, comme si nos corps étaient faits l’un pour l’autre. Lent, puis rapide, ses mains sur mes fesses qui claquent contre les siennes. Je sentais chaque centimètre, chaque pulsation. On a joui ensemble, criant nos noms dans la nuit.
Le matin après, je me suis réveillée avec un sourire idiot. Il dormait encore, torse nu. J’ai filé un message rapide avant de partir :
Et voilà, c’est comme ça que tout a commencé. Si tu lis ça, peut-être que la prochaine histoire sera la tienne… qui sait ?