Salut, c’est moi, Allyah, 28 ans, et franchement, j’ai jamais été du genre à raconter mes trucs perso comme ça, mais bon, des fois, y a des soirées qui te marquent tellement que t’as juste envie de les cracher sur papier… ou là, sur ce truc. C’était un vendredi soir banal, j’étais rentrée du boulot crevée, mes collants qui me grattaient les cuisses après une journée entière à piétiner dans des talons trop hauts. J’ai balancé mon sac sur le canapé, enfilé un vieux t-shirt trop large qui sentait encore le parfum de mon ex – ouais, j’ai pas tout viré, faut dire – et j’ai ouvert mon téléphone pour scroller Tinder, comme d’hab quand j’ai la dalle au moral.
Et là, bim, un match. Lui, c’était Alex, profil photo en noir et blanc, barbe de trois jours, regard qui te transperce direct. Son bio ? « Cherche quelqu’un pour des nuits où on oublie le reste. » Pas mal, hein ? J’ai liké, on a matché, et cinq minutes plus tard, premier message. J’ai hésité, le cœur qui bat un peu plus fort, parce que des fois, ces apps, c’est juste du vent. Mais là, y avait un truc, une vibe qui me chatouillait déjà l’intérieur des cuisses.
On a commencé à papoter, rien de ouf au début, juste des banalités sur le taf, la pluie qui tombe encore – typique Paris, quoi. Mais vite, ça a dérapé vers le perso. J’étais vautrée sur mon lit, les jambes relevées sur le mur, et mes doigts volaient sur l’écran. J’avoue, j’étais déjà un peu chaude, l’idée d’un inconnu qui me parle comme si on se connaissait depuis toujours, ça m’a fait mouiller sans même qu’il le sache encore.

J’ai relu ça trois fois, le souffle court. Mes seins se sont tendus sous mon t-shirt, et j’ai senti cette chaleur humide qui monte, celle qui te fait serrer les cuisses sans réfléchir. J’ai répondu vite, trop vite peut-être, mais tant pis, j’étais dedans.
Ouais, j’étais trempée. J’ai glissé une main sous ma culotte, juste pour effleurer, pour calmer le feu qui me bouffait vive. On a continué comme ça une heure, des mots crus qui dansaient sur l’écran, des promesses de ce qu’on se ferait si on se voyait. Il voulait me prendre là, sur le comptoir de sa cuisine, avec la vue sur les lumières de la ville. Moi, je fantasmais sur ses mains fortes qui me plaquent, son sexe dur qui pulse contre moi avant de me remplir d’un coup sec.
Et puis, sans prévenir, il a lâché : « Viens ce soir. Chez moi. Porte rien en dessous. » Mon cœur a explosé. J’ai hésité genre deux secondes, mais putain, pourquoi pas ? J’ai sauté du lit, enfilé une robe noire toute simple qui moule mes hanches, rien dessous comme il voulait – le tissu qui frôle ma peau nue, ça m’a déjà fait frissonner. Taxi, vingt minutes qui m’ont paru une éternité, mes cuisses qui se frottent l’une contre l’autre sur la banquette arrière.
Quand il a ouvert la porte, y avait ce sourire en coin, ses yeux qui descendent direct sur mes seins, comme s’il savait déjà tout. Pas de bonjour, juste sa main sur ma nuque qui m’attire, sa bouche qui s’écrase sur la mienne, dure, affamée. J’ai gémi direct, mes ongles dans son t-shirt, et il m’a poussée à l’intérieur, la porte qui claque derrière nous.
On s’est déshabillés en trébuchant, sa chemise qui vole, ma robe qui tombe en tas à mes pieds. Il m’a soulevée comme une plume, mes jambes autour de lui, et on a atterri sur son lit en un fouillis de draps. Ses mains partout, sur mes fesses, entre mes cuisses – « T’es si mouillée pour moi », qu’il a murmuré, et j’ai hoché la tête, incapable de parler. Il m’a léchée d’abord, sa langue qui danse sur mon clito comme s’il avait fait ça toute sa vie, mes hanches qui se cambrent, mes cris qui remplissent la pièce. J’ai joui la première fois comme ça, les doigts dans ses cheveux, en hurlant son nom.
Après, c’était mon tour. Je l’ai chevauché, sentant sa queue dure qui m’emplit, qui me étire juste comme il faut. Il grognait sous moi, ses mains sur mes seins qui pincent mes tétons, et je bougeais vite, trop vite, pour le faire craquer. On a changé de positions, lui derrière moi, qui me baise en me tenant les cheveux, sa paume qui claque sur mes fesses – pas fort, juste assez pour me faire haleter. Et quand il a joui, c’était en moi, chaud, profond, et j’ai suivi direct, tremblante, vidée.
Le matin, on s’est réveillés en sueur, enlacés, et on a ri de tout ça. Pas de regrets, juste un café et un au revoir avec un baiser qui promettait peut-être plus. Depuis, je checke mon phone plus souvent, en me demandant qui sera le prochain à me faire vibrer comme ça. Et toi, t’as déjà vécu un truc pareil ?