Salut, c’est moi, Anna. J’ai 25 ans, un boulot banal en marketing, et une vie secrète qui me fait vibrer comme jamais. Tu sais, ces nuits où on oublie tout pour se plonger dans l’inconnu ? C’est comme ça que tout a commencé avec Lui. Pas un prince charmant, non, un dominant pur jus que j’ai croisé sur un site un peu… osé. On a discuté pendant des semaines, des messages qui me faisaient rougir au bureau, le cœur qui bat la chamade. Mais ce soir-là, c’était différent. J’avais décidé de franchir le pas. Pas de retour en arrière.
Je me souviens de l’odeur de la pluie sur l’asphalte quand je suis sortie de ma voiture devant son appartement. Mes mains tremblaient un peu en serrant mon sac, dedans : une robe noire moulante, des talons qui claquaient comme des avertissements, et ce collier en cuir que j’avais acheté en ligne, le cœur serré d’excitation et de peur. « Sois prête à obéir », m’avait-il dit. J’ai sonné, et la porte s’est ouverte sur ses yeux sombres, son sourire en coin qui promettait tout et rien à la fois.
Il m’a fait entrer sans un mot, juste un regard qui m’a clouée sur place. La pièce était faiblement éclairée, des bougies vacillantes sur une table basse, et au milieu, un fauteuil en cuir usé qui semblait attendre sa proie. « À genoux », a-t-il murmuré, sa voix grave comme un ordre enveloppé de velours. J’ai obéi, mes genoux heurtant le sol froid, et déjà, une chaleur humide se répandait entre mes cuisses. Il s’est approché, sa main glissant dans mes cheveux, tirant juste assez pour que je penche la tête en arrière. « Dis-moi ton mot de sécurité, petite soumise. »
« Rouge », ai-je soufflé, la voix rauque. Il a hoché la tête, satisfait, et sorti de sa poche une corde fine, rouge comme le sang. Ses doigts experts ont noué mes poignets derrière mon dos, chaque boucle serrant un peu plus mon pouls qui s’emballait. Je sentais son souffle sur ma nuque, chaud, possessif. « Tu es à moi ce soir. Pas de questions, pas de regrets. »

Les minutes suivantes étaient un tourbillon. Il m’a relevée d’un geste, me poussant contre le mur, sa bouche capturant la mienne dans un baiser brutal, dominateur. Ses mains partout, explorant, pinçant, marquant ma peau pâle. J’ai gémi quand il a relevé ma robe, ses doigts frôlant l’intérieur de mes cuisses, effleurant à peine mon string trempé. « Déjà si prête ? Pathétique… et délicieux. » Sa voix me faisait fondre, me rendait faible.
Plus tard, alors que j’étais attachée au fauteuil, les jambes écartées par des liens aux chevilles, il s’est assis en face de moi, un verre de vin à la main. On aurait dit un roi observant son trophée. C’est là qu’il a sorti son téléphone, et on a échangé ces messages, même si on était à deux mètres l’un de l’autre. C’était son jeu, pour me torturer un peu plus.
Le premier coup de son fouet en cuir a sifflé dans l’air, atterrissant sur mes cuisses avec une brûlure exquise. « Un… merci, Maître. » Ma voix chevrotait, mais mon corps en redemandait. Chaque impact envoyait des ondes de plaisir-douleur droit à mon centre, me faisant cambrer, haleter. À cinq, j’étais en sueur, les larmes aux yeux, mais si vivante, si libre dans cette soumission. Il s’est arrêté à dix, jetant l’outil pour s’agenouiller entre mes jambes, sa langue enfin là où j’en mourais d’envie.
Oh, cette langue… experte, impitoyable. Il me léchait lentement, puis vite, mordillant mon clitoris gonflé jusqu’à ce que je crie, suppliant pour la libération. « Pas encore », grognait-il contre ma peau. Ses doigts ont rejoint la danse, enfoncés profondément, courbés juste comme il faut pour toucher ce point qui me fait exploser. J’ai joui comme jamais, un orgasme qui m’a secouée entière, mes liens grinçant sous mes soubresauts.
Après, il m’a détachée doucement, me serrant contre lui sur le sol, nos corps enchevêtrés, collants de sueur. « Tu as été parfaite », a-t-il murmuré en caressant mes marques rouges. On est restés comme ça des heures, à parler de tout et de rien, de nos limites, de nos envies futures. Ce n’était pas juste du sexe ; c’était une connexion brute, viscérale.
Depuis, je retourne là-bas quand l’envie me prend. Et toi, lecteur, est-ce que ça t’excite ? Imagine-toi à sa place… ou à la mienne. Qui sait, peut-être que la prochaine histoire sera la tienne.