Je suis Julie. J’ai 24 ans, et franchement, ma vie est un bordel total en ce moment. J’habite avec mon mec, Tom, depuis deux ans, et tout va bien en surface. On bosse tous les deux dans des jobs chiants, on sort le soir, on baise de temps en temps… Mais y’a ce truc qui me ronge, ce secret que je garde pour moi, et qui me fait mouiller rien que d’y penser. C’est tabou, c’est mal, et c’est pour ça que c’est si excitant. Je vais te raconter, parce que j’en peux plus de le garder en moi.
Ça a commencé l’été dernier, quand Tom m’a emmenée chez ses parents pour un barbecue en famille. Sa mère est super gentille, mais son père… Oh putain, son père, Marc. Il a la quarantaine bien tassée, des muscles d’ouvrier qui bossent dur, une barbe poivre et sel qui le rend hyper sexy, et ces yeux bleus qui te transpercent. Dès que je l’ai vu, en short et t-shirt moulant, en train de retourner des côtes d’agneau sur le grill, j’ai senti un frisson. Tom était occupé à papoter avec sa sœur, et moi, je me suis approchée pour « aider ». On a commencé à discuter, rien de fou au début : le boulot, le temps, tout ça. Mais il y avait cette tension, tu sais ? Ses regards qui glissaient sur mes jambes, ma jupe courte qui remontait un peu quand je m’asseyais sur la chaise en plastique.

Le soir, après que tout le monde soit bourré et rentré, Tom s’est endormi comme une masse dans la chambre d’amis. Moi, je pouvais pas dormir, la chaleur était étouffante. J’ai descendu pour boire un verre d’eau, et bam, il était là, dans la cuisine, torse nu, en train de laver la vaisselle sous la lumière tamisée. « T’arrive pas à dormir, princesse ? » qu’il m’a dit avec un sourire en coin. J’ai rougi comme une gamine, mais j’ai joué le jeu : « Ouais, trop chaud… Et toi ? » On a parlé pendant une heure, assis à la table, nos genoux qui se frôlaient par accident. Il m’a raconté des trucs sur sa vie, comment il s’était séparé de la mère de Tom il y a des années, comment il se sentait seul. Moi, je sentais mon cœur qui battait la chamade, et entre mes cuisses, c’était déjà humide. Quand il a posé sa main sur la mienne, juste une seconde, j’ai failli gémir.
Après ça, on s’est revus en cachette. Tom bossait tard, et Marc habitait à 20 minutes. Au début, c’étaient des cafés « innocents », mais vite, ça a dérapé. Un soir, après un texto anodin, je suis allée chez lui. On a bu du vin, ri, et puis… ses lèvres sur les miennes. C’était comme un feu d’artifice. Ses mains rugueuses qui glissaient sous mon haut, qui pinçaient mes tétons durcis. J’étais trempée, je le suppliais presque. « C’est mal, Julie, on peut pas… » qu’il murmurait, mais son corps disait le contraire. Il m’a prise sur le canapé, fort, sans ménagement, et j’ai crié son nom pour la première fois.
Et ouais, y’a eu des messages, des trucs qu’on s’envoyait en pleine nuit quand Tom ronflait à côté de moi. Genre :
Chaque fois, c’était plus intense. La peur d’être découverte rendait tout électrique. Une fois, on l’a fait dans la salle de bain pendant que Tom prenait sa douche – non, attends, c’était dans la cuisine de ses parents, avec sa mère qui cuisinait à l’étage du dessus. Le risque, c’est ça qui me rend folle. Marc est si différent de Tom : il sait ce qu’il veut, il me domine sans pitié, me plaque contre le mur et me pénètre d’un coup sec, en me mordant le cou pour que je ferme ma gueule.
Maintenant, je sais pas combien de temps ça va durer. Tom commence à se douter de quelque chose, il me pose des questions sur mes « sorties entre copines ». Mais je m’en fous. Ce secret, cette addiction à Marc, c’est ce qui me fait me sentir vivante. Si t’as déjà vécu un truc comme ça, dis-moi… Ça te fait bander ou mouiller, hein ? Moi, juste en l’écrivant, je suis déjà en train de me toucher.
Fin… pour l’instant. 😉