Bon, je sais pas par où commencer, mais voilà, c’est arrivé comme ça, un soir d’été où tout le monde était censé se détendre en famille. Moi, c’est Léa, 32 ans, mariée à Marc depuis cinq ans. On est en vacances dans la maison de campagne de ses parents, avec son frère aîné, Alex. Marc bosse comme un dingue même en congés, il passe ses journées à checker ses mails sur son ordi, et les soirées à picoler avec les potes du coin. Moi, je reste là, à bronzer au bord de la piscine, en short et top moulant, à essayer de pas trop m’ennuyer.
Alex, lui, c’est le genre de mec qui te fait tourner la tête sans même essayer. Grand, tatoué sur un bras, avec ce sourire en coin qui dit « je sais ce que tu penses ». Il est séparé depuis un an, et depuis qu’on est arrivés, il y a cette… tension. Genre, quand il plonge dans l’eau et ressort tout mouillé, les gouttes qui coulent sur son torse, je peux pas m’empêcher de mater. Et lui, il le sait. Hier, il m’a frôlée en passant derrière moi pour attraper une bière, sa main a effleuré ma hanche, et j’ai eu des frissons partout. Marc était à deux mètres, mais il a rien vu, trop absorbé par son téléphone.
Ce soir-là, Marc est parti à une soirée foot avec les voisins, il m’a dit « t’inquiète, je rentre pas tard ». Moi, je suis restée avec Alex devant la télé, un film nul à la con, mais on s’en foutait. On a ouvert une bouteille de vin, et là, les regards se sont croisés un peu trop longtemps. J’ai senti mon cœur qui battait fort, comme si j’allais exploser.
Il a ri, mais ses yeux, putain, ils me dévoraient. Je me suis levée pour aller chercher de l’eau en cuisine, histoire de me calmer, mais il m’a suivie. La pièce était sombre, juste la lumière de la lune qui filtrait par la fenêtre. Il s’est approché par derrière, sa respiration chaude dans mon cou. « Léa, t’es magnifique ce soir », qu’il a murmuré, et sa main a glissé sur ma taille, sous mon t-shirt. J’aurais dû reculer, dire stop, mais non. Mon corps en voulait plus. J’ai tourné la tête, nos lèvres se sont frôlées, et là, c’était fini, on s’est embrassés comme des affamés.

Ses mains partout, qui descendent sur mes fesses, qui remontent pour dégrafer mon soutif. Je gémissais déjà, le vin aidant, ou peut-être juste le désir refoulé depuis des mois. On s’est laissés tomber sur le canapé, ses lèvres sur ma peau, mordillant mes seins, descendant plus bas. J’étais trempée, je le sentais, et quand il a glissé sa main dans ma culotte, j’ai cambré le dos, en retenant un cri. « Chut, petite belle-sœur », il a chuchoté avec un sourire diabolique, « faut pas réveiller les voisins ».
Il m’a enlevée complètement, m’a écarté les jambes, et sa langue… oh mon dieu, sa langue sur moi, experte, qui me léchait lentement, puis plus vite, en cercles autour de mon clito. Je tirais sur ses cheveux, mes hanches qui bougent toutes seules, et j’ai explosé en un rien de temps, en mordant mon poing pour pas hurler. Après, c’était mon tour. Je l’ai poussé sur le dos, défait son jean, et sa queue… dure comme du bois, veinée, prête pour moi. Je l’ai prise en bouche, suçant avidement, le regardant dans les yeux pendant qu’il gémissait mon nom.
On a pas pu s’arrêter là. Il m’a relevée, m’a plaquée contre le mur, et il est entré en moi d’un coup, profond, fort. On baisait comme des animaux, nos corps qui claquent, la sueur qui coule. « T’es à moi ce soir », il grognait, et moi je répondais « oui, oui, baise-moi plus fort ». C’était tabou, interdit, mon beau-frère en moi pendant que mon mari était pas loin, mais putain, c’était le pied total. On a joui ensemble, essoufflés, collés l’un à l’autre.
Le lendemain matin, Marc est rentré, tout souriant, sans se douter de rien. Alex et moi, on s’est évités toute la journée, mais nos regards se croisaient, pleins de promesses. Et ce soir, quand Marc s’est endormi, j’ai reçu un message…
Je sais que je devrais pas, mais… qui pourrait résister ?