Bon, je sais pas trop par où commencer, mais voilà, c’est moi, Anna, 28 ans, un boulot banal en agence de com’ à Paris, et une vie un peu fade jusqu’à ce que je croise son chemin sur une appli un peu spéciale. Tu sais, ce genre d’appli où on cherche pas juste un date sympa, mais quelque chose de plus… intense. Lui, c’est Alex, 35 ans, brun aux yeux verts qui te transpercent direct. On a matché il y a deux semaines, et depuis, on discute sans arrêt. Il a ce ton assuré, comme s’il savait déjà tout de moi, et moi, ben, j’adore ça. Ce soir, c’est notre premier vrai rdv. Chez lui, dans un appart cosy du Marais. J’ai le cœur qui bat la chamade en montant les escaliers, vêtue d’une petite robe noire toute simple, en dessous rien du tout, comme il me l’a demandé dans un message hier.
Alex : Parfaite. Souviens-toi, un mot et tout s’arrête. Mais je sais que tu vas adorer te laisser aller.
Il ouvre la porte, sourire en coin, et m’invite d’un geste. L’appart sent le bois et un truc musqué, genre encens. Pas de bonjour guindé, non, direct il me plaque contre le mur du couloir, sa main sur ma gorge, pas fort, juste assez pour que je sente son contrôle. « Déshabille-toi, lentement », qu’il murmure à mon oreille, sa voix grave qui me fait frissonner. J’hésite une seconde, les joues en feu, mais j’obéis. La robe glisse par terre, et je suis là, nue, vulnérable, sous son regard qui me dévore. Il hoche la tête, approbateur, et me guide vers la chambre. Y’a une chaise au milieu, des cordes posées sur le lit, et un bandeau noir.
Il m’attache les poignets derrière le dos, pas trop serré au début, pour que je m’habitue. Ses doigts effleurent ma peau, descendant le long de mon dos, et je me cambre sans même y penser. « Tu es à moi ce soir, Anna. Dis-le. » Sa main claque doucement sur mes fesses, un picotement qui se propage partout. « Je suis à toi », je souffle, la voix tremblante. Il rit doucement, ce son qui me rend folle, et me fait m’asseoir sur la chaise. Le bandeau sur les yeux, et tout devient noir, intense. Je n’entends plus que sa respiration, le froissement de ses vêtements quand il s’approche.
Moi : Promis. J’ai déjà hâte…
Les minutes s’étirent, ou peut-être des heures, j’sais pas. Il joue avec moi, des plumes qui chatouillent, des pinces qui piquent juste ce qu’il faut, sa voix qui commande, qui récompense. « Ouvre la bouche », et je le fais, sentant le goût salé de sa peau quand il s’approche. Chaque ordre est une vague de chaleur, et je me