Salut, c’est moi, Anna, la nana de 28 ans qui bosse comme serveuse dans ce bar pourri du centre-ville. Vous vous souvenez de ma nuit folle avec Alex ? Ouais, celle qui m’a fait vibrer comme jamais. Mais bon, après ça, on a continué à se voir, et petit à petit, les choses ont pris une tournure… plus intense. Genre, BDSM. Au début, j’en savais que dalle, juste des trucs vus dans des films pornos un peu cheap. Mais Alex, lui, c’était un pro. Un dominant qui savait exactement comment me faire plier, me faire supplier. Et putain, j’adore ça maintenant. Laissez-moi vous raconter cette soirée où tout a basculé pour de bon, où j’ai découvert que la douleur pouvait être le meilleur aphrodisiaque du monde
C’était un vendredi soir pluvieux, le genre qui te colle à la peau et te donne envie de te blottir contre quelqu’un de chaud. J’avais passé la journée à fantasmer sur lui, à me tortiller sur mon tabouret au bar en imaginant ses mains sur moi. On s’était échangé des messages toute la semaine, et il m’avait déjà donné des ordres simples : pas de culotte sous ma jupe au boulot, et me raser tout en bas pour lui. J’avais obéi, le cœur battant, en me sentant à la fois excitée et un peu salope. Vers 22h, mon phone a sonné. C’était lui.

Le collier ? Ouais, il m’en avait offert un la semaine d’avant, un truc en cuir noir simple, avec un anneau argenté. Pas grand-chose, mais le porter me faisait me sentir… à lui. J’ai filé du bar en vitesse, la pluie qui trempait ma jupe et rendait mes tétons durs sous mon chemisier mouillé. Chez lui, la porte s’est ouverte avant même que je toque. Alex était là, torse nu, en pantalon de cuir qui moulait tout ce qu’il fallait. Ses yeux sombres m’ont balayée de haut en bas, et j’ai frissonné.
« À genoux », il a ordonné d’une voix grave qui m’a fait fondre direct. Pas de bonjour, pas de câlin. Juste ça. J’ai obéi, les genoux sur le parquet froid, la tête baissée comme il me l’avait appris. Il a passé la main dans mes cheveux mouillés, tirant juste assez pour que ça pique. « T’es trempée, petite soumise. C’est la pluie ou moi ? » J’ai murmuré un « Toi, Maître », et il a ri doucement, un son qui m’a fait mouiller entre les cuisses. Il m’a relevée, m’a traînée jusqu’à la chambre où il avait tout préparé : des menottes en cuir, une cravache fine, des pinces pour tétons, et son fouet préféré, ce truc en suède qui laisse des marques roses.
Il m’a déshabillée lentement, en inspectant chaque partie de mon corps comme si j’étais sa propriété. Ses doigts ont glissé sur ma chatte rasée, et j’ai gémi sans permission. Erreur. « Silence », il a grogné, et la première claque est tombée sur mes fesses, sèche et brûlante. Ça piquait, mais putain, ça envoyait des décharges direct à mon clito. Il m’a attachée aux montants du lit, les bras en croix, les jambes écartées par une barre. Nue, vulnérable, je sentais l’air frais sur ma peau, et mon cœur qui cognait comme un marteau.
La suite ? Un tourbillon de sensations. Il a commencé par les pinces sur mes tétons, serrées juste assez pour que je mords ma lèvre jusqu’au sang. La douleur était vive, mais quand il a tiré dessus doucement, ça s’est transformé en plaisir liquide qui coulait jusqu’à mon ventre. « Supplie-moi », il a dit, et j’ai craqué : « S’il te plaît, Maître, touche-moi… fais-moi mal, fais-moi jouir. » Il a souri, ce sourire carnassier, et la cravache a sifflé. Des coups légers sur mes cuisses, mes seins, mon cul – chaque impact me faisait cambrer, gémir, supplier plus fort.
J’ai compté, la voix tremblante, les larmes aux yeux de l’intensité. À 20, j’étais un feu d’artifice, le corps en feu, la chatte qui pulsait vide et affamée. Il a enlevé les pinces d’un coup, et la rush de sang m’a fait crier – un orgasme sans même être touchée là en bas. Il a ri, fier, et enfin, il s’est positionné entre mes jambes. Son sexe dur contre moi, il m’a pénétrée d’un thrust puissant, sans préliminaires. J’étais si sensible que chaque mouvement me faisait voir des étoiles. Il baisait fort, une main autour de ma gorge, serrant juste pour me faire tourner la tête, l’autre qui pinçait ma peau. « T’es à moi, Anna. Ma petite salope soumise. » Ces mots m’ont envoyée au septième ciel, et j’ai joui autour de lui, les muscles qui se contractaient, des vagues qui me noyaient.
Il a continué, me retournant pour me prendre par derrière, le fouet claquant en rythme avec ses coups de reins. La douleur et le plaisir se mélangeaient en un cocktail addictif, et quand il a enfin explosé en moi, grognant mon nom, je me suis effondrée, comblée, marquée. On a resté comme ça, enlacés, sa main caressant doucement les marques rouges sur ma peau. « T’es parfaite », il a murmuré. Et moi, je savais que j’étais accro. À lui, à cette danse entre douleur et extase. La prochaine fois ? J’ai déjà hâte de supplier pour plus.