Ma première soumission totale à mon maître inconnu

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Salut, c’est encore moi, Anna, la même nana de 28 ans qui bosse comme serveuse dans ce bar pourri du centre-ville. Vous vous souvenez de ma nuit folle avec Alex ? Ouais, ben ça, c’était du pipi de chat comparé à ce qui m’est arrivé il y a trois semaines. J’étais encore en train de surfer sur cette app de rencontres, un soir où j’avais besoin de plus que du sexe vanille. J’avais coché la case « BDSM curieux » dans mon profil, genre pour voir, sans vraiment y croire. Et là, match avec un mec qui s’appelait « DomShadow42 ». Son profil : « Maître expérimenté cherche soumise consentante pour explorer les limites. Pas de demi-mesure. » Putain, mon cœur a fait un bond. On a commencé à discuter, et dès les premiers mots, j’ai su que j’étais foutue.

J’étais chez moi, affalée sur mon lit en nuisette toute fine, avec une bougie qui crépitait dans la chambre. Le téléphone a vibré, et c’était lui. Au début, c’était soft – il m’a posé des questions sur mes fantasmes, ce que j’aimais, ce qui me faisait peur. J’ai avoué que j’avais toujours rêvé d’être attachée, de lâcher prise total, de sentir une main ferme qui me guide. Il a ri doucement dans sa voix message, une voix grave qui m’a donné des frissons partout. Et vite, les règles sont tombées : il voulait que je l’appelle Maître, que je dise « oui Maître » à chaque ordre. J’ai hésité deux secondes, puis j’ai tapé, les doigts tremblants.

Moi : D’accord… Maître. Ça me fait bizarre, mais excitant. Qu’est-ce que tu veux que je fasse ce soir ?
Lui : Bonne fille. Enlève ta nuisette. Maintenant. Et décris-moi ce que tu ressens, nue et vulnérable pour moi.

J’ai obéi, le cœur qui cognait comme un marteau. La fraîcheur de l’air sur ma peau, mes tétons qui pointaient direct, et cette chaleur qui montait entre mes cuisses. Je lui ai tout dit, en détails, et il m’a guidée : « Touche-toi, mais doucement. Pas d’orgasme sans ma permission. » On a joué comme ça pendant une heure, lui qui me donnait des ordres via messages, moi qui suppliais pour plus. À la fin, j’étais en sueur, les jambes écartées, et je l’ai supplié de me voir en vrai. Il a fixé le rendez-vous pour le vendredi suivant, chez lui. « Prépare-toi à te soumettre, petite. Apporte ton consentement et ta confiance. »

Le jour J, j’ai enfilé une robe noire toute simple, sans rien en dessous, comme il l’avait demandé. Son appart était dans un vieux bâtiment chic, avec des rideaux épais et une lumière rouge tamisée qui rendait tout un peu surréaliste. Quand il a ouvert la porte, j’ai eu le souffle coupé : grand, musclé, avec un regard qui te cloue sur place, et une cravate de cuir autour du cou comme un collier de Dominant. « Entre, soumise », il a dit d’une voix calme mais autoritaire. J’ai franchi le seuil, et il a fermé la porte derrière moi. Pas de bonjour, pas de câlin – direct au vif du sujet. Il m’a fait asseoir par terre, à ses pieds, et on a discuté des limites. Safe word : « rouge ». Tout était clair, consentant, mais putain, l’adrénaline…

Il m’a relevée d’un geste doux mais ferme, et m’a emmenée dans la chambre. Au milieu, un lit king size avec des attaches aux coins, et sur une table, des jouets : cordes rouges, fouet en cuir souple, pinces à tétons, un plug… J’ai dégluti, excitée et terrifiée. « Déshabille-toi lentement, pour moi », il a ordonné. J’ai laissé glisser la robe, nue devant lui, les bras le long du corps. Il m’a inspectée du regard, comme si j’étais une œuvre d’art. Puis, il m’a attachée aux poignets avec les cordes, les nouant expertement, pas trop serré mais assez pour que je sente ma liberté s’envoler. « Tu es à moi ce soir », il a murmuré en me plaquant sur le lit, à quatre pattes.

Moi : Maître, s’il vous plaît… J’ai peur, mais j’en ai tellement envie.
Lui : La peur est ton aphrodisiaque, Anna. Laisse-la te consumer. Compte les coups, et remercie-moi après chaque.

Le premier coup de fouet a atterri sur mes fesses, une brûlure vive qui m’a fait crier. Mais après la douleur, une chaleur qui irradiait, qui me faisait mouiller comme jamais. Il en a donné cinq, espacés, en alternant avec des caresses apaisantes sur ma peau rougie. « Un… Merci Maître. » « Deux… Oh merci Maître. » À chaque fois, ma voix tremblait, mais mon corps arquait pour en redemander. Puis, il m’a mise sur le dos, les bras tirés au-dessus de la tête, et a fixé les pinces sur mes tétons. La morsure était intense, presque insupportable, mais quand il a tiré légèrement dessus en me baisant du regard, j’ai gémi de plaisir pur.

Il s’est déshabillé alors, son corps marqué de cicatrices discrètes – souvenirs d’autres jeux, j’imagine. Son sexe dur, imposant, et il m’a prise d’un coup, profond, sans préliminaires. J’étais si trempée que ça glissait facile, mais les attaches me tenaient immobile, à sa merci. Il allait et venait, fort, en pinçant les pinces, en mordant mon cou. « Supplie-moi d’aller plus fort », il a grogné. « Plus fort, Maître ! Baisez-moi comme votre pute ! » J’ai hurlé, perdue dans la soumission. L’orgasme m’a frappée comme un tsunami quand il a relâché les pinces d’un coup, la douleur se mélangeant au plaisir en une explosion qui m’a fait trembler des pieds à la tête. Il a joui en moi ensuite, un râle primal, en me tenant les cheveux.

Après, il m’a détachée doucement, m’a massée avec de l’huile, m’a enveloppée dans une couverture. On a parlé, ri même, de comment j’avais tenu. « T’es une bonne soumise, Anna. On recommence quand tu veux. » Je suis rentrée chez moi le lendemain, les marques encore visibles sous mes fringues, mais un sourire idiot sur le visage. Maître Shadow, t’as ouvert une porte en moi que je ne refermerai jamais. Et j’attends déjà le prochain ordre.

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