La nuit où j’ai découvert les secrets interdits de mon voisin tatoué et mystérieux

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storycoquine

Hey, c’est encore moi, Anna, la nana de 28 ans qui bosse comme serveuse et qui a une vie sexuelle qui partait en vrille totale avant cet été. Vous vous souvenez de mon histoire avec Alex ? Ouais, celle qui m’a fait vibrer pendant des semaines. Mais bon, les choses évoluent, et après quelques semaines de fun avec lui, on s’est un peu perdus de vue – boulot, distance, tout ça. Du coup, j’ai recommencé à mater mes voisins, surtout ce grand brun tatoué du troisième étage, que j’appelais en secret « le Mystère ». Il rentrait tard, toujours avec son air sombre et ce sourire en coin qui me faisait fondre. Un soir de canicule, alors que je crevais de chaud dans mon appart minuscule, j’ai entendu du bruit chez lui – de la musique rock, basse et sensuelle. Et là, l’idée m’est venue : pourquoi pas tenter le coup ? J’ai enfilé un short en jean ultra-court et un top transparent, et je suis allée frapper à sa porte, prétextant un sucre manquant. Pathétique, hein ? Mais ça a marché.

Il s’appelle Luca, 32 ans, mécano de son état, avec des bras musclés couverts d’encre et des yeux noirs qui te déshabillent d’un regard. Quand il a ouvert, torse nu, en sueur de la chaleur, j’ai senti mes jambes flageoler. « Du sucre ? T’es sérieuse ? » il a ri, d’une voix grave qui m’a donné des frissons. On a papoté cinq minutes sur le pas de la porte, mais la tension était là, électrique, comme si l’air crépitait. Il m’a invitée à entrer pour un verre, et moi, idiote excitée, j’ai dit oui. Son appart était un chaos masculin : outils éparpillés, posters de motos, et une odeur de cuir et de tabac qui m’a enivrée direct. On s’est assis sur son canap’ usé, nos cuisses qui se frôlaient « par accident », et on a commencé à boire de la bière tiède en se racontant des conneries sur la vie de quartier.

Mais vite, ça a viré au perso. Il m’a demandé si j’étais seule ce soir, et moi, avec un clin d’œil, j’ai répondu que ouais, et que c’était frustrant. Ses yeux se sont assombris, et il s’est penché plus près, son souffle chaud sur mon épaule. « Frustrant comment ? » il a murmuré. J’ai rougi, mais l’excitation l’a emporté. On a sorti les téléphones – pas pour appeler, non, pour se chauffer à distance, comme un jeu idiot qui rendait tout plus intense. Genre, assis à 20 cm l’un de l’autre, à s’envoyer des messages pendant qu’on se matait.

Moi : T’imagines si je passais ma main là, sur ton torse ? Juste pour sentir tes muscles se contracter…
Lui : Et moi, je la remonterais sous ton top, pour caresser ta peau douce. T’es déjà en train de trembler, Anna ?

J’ai ri nerveusement, mais putain, j’étais déjà toute mouillée, les joues en feu. Il a posé son phone et m’a attirée contre lui, ses lèvres effleurant les miennes. Le baiser a été sauvage, comme si on se retenait depuis des mois. Sa langue a envahi ma bouche, possessive, et ses mains ont agrippé mes hanches, me plaquant sur ses genoux. Je sentais son érection dure contre moi, et j’ai ondulé instinctivement, gémissant dans sa bouche. « T’es une tentation ambulante », il a grogné en mordant mon lobe d’oreille, pendant que ses doigts défaisaient mon short. Il m’a caressée là, doucement d’abord, puis plus fort, me faisant haleter. J’ai glissé ma main dans son pantalon, le sentant palpiter, chaud et prêt.

On s’est levés d’un bond, trébuchant jusqu’à sa chambre – un lit king size avec des draps froissés qui sentaient l’homme. Il m’a jetée dessus, arrachant mes fringues avec une urgence qui me rendait folle. Nue sous lui, je l’ai regardé se déshabiller, admirant ses tatouages qui dansaient sur sa peau tendue. Il s’est agenouillé entre mes jambes, embrassant l’intérieur de mes cuisses, taquinant avec sa barbe qui grattait juste ce qu’il faut. Quand sa bouche a enfin atteint mon sexe, j’ai cru exploser. Sa langue experte tournoyait, suçait mon clito avec une précision diabolique, et j’ai tiré sur ses cheveux, criant son nom. « C’est ça, laisse-toi aller », il a dit en glissant un doigt en moi, puis deux, me remplissant pendant qu’il me léchait. L’orgasme m’a frappée comme un raz-de-marée, mes cuisses tremblant autour de sa tête.

Moi : Viens, Luca, j’en veux plus… Baise-moi fort, s’il te plaît.
Lui : Avec plaisir, bébé. Je vais te faire oublier ton nom.

Il s’est redressé, enfilant une capote vite fait, et il est entré en moi d’un thrust puissant qui m’a arraché un cri. On était en sueur, nos corps claquant l’un contre l’autre dans un rythme frénétique. Il me tenait les poignets au-dessus de la tête, dominant, et je me cambrais pour l’accueillir plus profond. Chaque coup de reins me faisait voir des étoiles, ses grognements rauques mélangeant à mes gémissements. J’ai joui une deuxième fois, les ongles enfoncés dans son dos, et il a suivi, se crispant en moi avec un râle primal qui m’a donné la chair de poule.

Après, on est restés là, essoufflés, à fumer une clope à la fenêtre en regardant les lumières de la ville. « C’était pas prévu, ça », j’ai dit en riant. Il m’a serrée contre lui : « Mais c’était parfait. » Depuis, Luca, c’est mon secret du quartier – nos nuits volées, nos messages codés pour se retrouver. Et franchement, je n’ai jamais été aussi vivante.

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