Salut, c’est moi, Anna. J’ai 28 ans, je bosse dans un bureau chiant en ville, et franchement, ma vie sexuelle c’était du réchauffé ces derniers temps. Genre, des mecs sympas mais qui savaient pas quoi faire avec mon corps. Et puis y’a eu cette app de dating, Tinder ou un truc du genre, où j’ai matché avec Alex. Il avait l’air d’un bad boy, avec ses tatouages et son sourire en coin sur les photos. On a commencé à chatter, et putain, dès les premiers messages, j’ai senti que ça pouvait être chaud.
Le contexte ? C’était un vendredi soir pluvieux, j’étais seule chez moi après une semaine de merde au boulot. J’avais enfilé mon pyjama tout fin, celui en soie qui colle à la peau quand il fait humide, et je scrollais bêtement sur mon phone. Alex m’avait déjà envoyé un message la veille, et ce soir-là, il a relancé. On parlait de tout et de rien au début, de nos jobs, de nos films préférés, mais vite, ça a dérapé vers des trucs plus perso. Genre, ce qu’on aimait au lit. Moi, je suis du genre à kiffer quand on me domine un peu, sans être trop violent, tu vois ? Et lui, il a dit qu’il adorait faire monter la tension lentement.
Et là, nos messages sont devenus… intenses. Regarde un peu :
Moi : J’avoue, j’aime quand un mec sait prendre les commandes. Mais pas comme un bourrin, hein. Doucement, pour que je sente chaque seconde.
Lui : Oh putain, Anna, t’as l’air d’une petite coquine qui cache bien son jeu. Imagine si j’étais là, à te murmurer à l’oreille ce que je vais te faire. Tes cuisses qui tremblent déjà ?
Moi : Peut-être… Dis-m’en plus. J’suis en pyjama fin, et il pleut dehors, ça rend tout moite ici.
Lui : Moite, hein ? J’aimerais passer ma main sous ce tissu, effleurer ta peau chaude, descendre lentement jusqu’à ce que tu gémisses mon nom. Et toi, qu’est-ce que tu me ferais ?
J’ai senti mon cœur qui battait la chamade en lisant ça. Mes joues rougissaient, et entre mes jambes, c’était déjà humide. J’ai répondu vite, en mordillant ma lèvre, imaginant sa voix grave. On a continué comme ça pendant une heure, à se chauffer mutuellement. Il décrivait comment il m’embrasserait le cou, comment ses doigts exploreraient chaque courbe de mon corps, et moi je lui disais à quel point j’adorais l’idée de le chevaucher, de sentir sa bite dure contre moi.
Finalement, il a proposé de venir. « J’habite à 20 minutes, et j’ai pas envie d’attendre plus longtemps pour te goûter. » J’ai hésité genre 2 secondes, mais putain, pourquoi pas ? J’ai envoyé mon adresse, et 25 minutes plus tard, on sonnait à ma porte, trempé par la pluie, avec ce regard affamé qui m’a fait fondre direct.
Il est entré, on s’est à peine dit bonjour qu’il m’a plaquée contre le mur du couloir. Ses lèvres sur les miennes, voraces, sa langue qui danse avec la mienne, et ses mains qui glissent sous mon pyjama. J’ai gémi quand il a pincé mes tétons, durcis par l’excitation. « T’es encore plus belle en vrai, » il a murmuré, en me soulevant comme si j’étais légère. On a atterri sur mon lit en un rien de temps, ses vêtements volaient partout.
Son corps était ferme, tatoué, et quand il m’a écarté les cuisses, j’ai cru que j’allais exploser. Il a commencé par des baisers légers sur l’intérieur de mes jambes, remontant lentement, me torturant. « Patience, ma belle, » il disait, et moi je suppliais presque. Puis sa bouche a trouvé mon clito, et oh mon dieu… Sa langue tournoyait, aspirait, et ses doigts entraient en moi, courbés juste comme il faut pour toucher ce point qui me fait voir des étoiles. J’ai agrippé les draps, mes hanches qui se cambraient toutes seules, et j’ai joui comme une folle, en criant son nom.
Mais c’était pas fini. Il s’est redressé, sa queue raide et prête, et il m’a regardée droit dans les yeux. « À ton tour de me rendre fou. » J’ai rampé vers lui, excitée par son regard, et je l’ai pris en bouche, lentement d’abord, puis plus profond, en le sentant grossir encore. Il grognait, ses mains dans mes cheveux, guidant sans forcer. Puis il m’a retournée, sur les genoux, et il est entré en moi d’un coup, profond, me remplissant complètement. On baisait comme des animaux, sa peau contre la mienne, en sueur, le lit qui grince. Il me tenait les hanches, alternant coups lents et profonds avec des accélérations qui me faisaient haleter.
On a changé de positions, moi au-dessus, à le chevaucher en roulant des hanches, sentant chaque centimètre de lui. Ses mains sur mes seins, pinçant, caressant. Et quand il a joui, en se crispant en moi, ça m’a emportée une seconde fois, un orgasme qui m’a laissée tremblante.
Après, on est restés là, essoufflés, à rire un peu de la folie du moment. Il est parti au petit matin, mais on s’est revus depuis. Et chaque fois, c’est encore plus intense. Si t’as déjà vécu un truc comme ça, raconte-moi… Sinon, essaie, ça change tout !