Mon soir torride avec l’inconnu du bar

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Salut, c’est moi, Anna, 26 ans, et j’ai toujours été du genre à fantasmer sur ces rencontres imprévues qui te font frissonner jusqu’aux os. Tu sais, ces moments où ton cœur bat la chamade sans raison apparente ? Ben, l’autre soir, c’était exactement ça. J’étais sortie avec des copines pour un verre rapide après le boulot, histoire de décompresser d’une semaine de merde au bureau. On était dans ce petit bar cosy du centre-ville, lumières tamisées, musique jazz en fond, l’ambiance parfaite pour oublier le stress.

J’étais là, perchée sur un tabouret, à siroter mon mojito, quand je l’ai vu. Lui. Grand, cheveux un peu en bataille, un sourire en coin qui disait « je sais des trucs que tu ignores encore ». Il s’est approché, l’air de rien, et a commandé une bière juste à côté de moi. Nos regards se sont croisés, et bam, cette étincelle. On a commencé à discuter de tout et de rien – le temps pourri dehors, le pire film qu’on ait vu récemment (le mien, c’est ce navet romantique avec trop de pleurs). Mais sous les mots légers, il y avait cette tension, ce truc électrique qui te fait serrer les cuisses sans t’en rendre compte.

Une heure plus tard, mes copines étaient parties, et on était toujours là, à rire comme des ados. Il s’appelait Lucas, voyageur de commerce, en ville pour deux jours seulement. « Et si on continuait ailleurs ? » qu’il m’a lancé, ses yeux plongeant dans les miens avec une intensité qui m’a fait rougir. J’ai hésité genre deux secondes, mais putain, pourquoi pas ? J’ai hoché la tête, et on est sortis dans la nuit fraîche, main dans la main, direction son hôtel à deux rues de là.

Dans l’ascenseur, c’était déjà le feu. Ses lèvres sur mon cou, sa main glissant sous ma jupe, effleurant ma peau comme si c’était la première fois qu’il touchait une femme. J’ai gémi doucement, le corps en feu, et quand les portes se sont ouvertes, on a titubé jusqu’à sa chambre, riant et nous déshabillant à moitié dans le couloir. Une fois dedans, plus de rires. Juste du désir pur, brut.

Il m’a plaquée contre le mur, ses mains partout, explorant mes courbes comme un trésor caché. J’ai senti son excitation contre moi, dure et pressante, et ça m’a rendue folle. « T’es si belle quand tu te laisses aller », qu’il a murmuré en me soulevant pour m’emmener sur le lit. Là, il a pris son temps, léchant, mordillant, me faisant supplier pour plus. Mes ongles dans son dos, mes hanches qui se cambraient vers lui… c’était comme si nos corps parlaient un langage secret, humide et fiévreux.

Et puis, au milieu de tout ça, mon téléphone a bipé. C’était lui, un message que j’avais oublié d’éteindre les notifs. Non, attends, c’était avant, pendant nos premiers échanges après le bar. Laisse-moi te montrer :

Moi : T’es sûr que c’est une bonne idée ? Je suis pas du genre one-night stand habituellement… Lui : Et c’est ça qui rend ça excitant. Laisse-toi surprendre, Anna. Je promets que tu regretteras pas. Qu’est-ce que t’en dis, on monte ? Moi : OK, mais si c’est nul, tu me dois un café demain matin. Deal ? Lui : Deal. Et si c’est génial, je te dois plus qu’un café…

Ces mots m’ont fait sourire au milieu de nos ébats, et j’ai répondu vite fait sur le matelas défait, son corps encore lové contre le mien. Mais bon, on a vite repris, et cette nuit-là, on a exploré des trucs que j’aurais jamais osé avant. Ses doigts en moi, ma bouche sur lui, nos souffles mêlés jusqu’à l’aube. J’ai joui comme jamais, tremblante, criant son nom dans l’obscurité de la chambre d’hôtel. Et lui, il était insatiable, me retournant, me prenant par derrière avec une douceur sauvage qui m’a laissée pantelante.

Le matin venu, on s’est réveillés enroulés l’un dans l’autre, un peu gênés mais comblés. Il est parti pour son train, et moi, je suis rentrée avec un sourire idiot et des courbatures qui me rappellent chaque seconde. C’était pas de l’amour, juste du pur plaisir, et franchement, j’en redemande. Qui sait, peut-être que la prochaine fois, ce sera toi au bar ?

Fin de mon petit secret. J’espère que ça t’a fait bander… ou mouiller, selon. Bisous.

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