Ma nuit interdite avec le prof de mon frère

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storycoquine

Salut, c’est moi, Léa. J’ai 28 ans, et franchement, ma vie était super plate avant cet été. Mon frère aîné, il est en fac de droit, et son prof principal, M. Duval, il passait souvent à la maison pour discuter des notes ou je sais pas quoi. Il a genre 35 ans, grand, avec ces lunettes qui lui donnent un air intello sexy, et un sourire qui te fait fondre direct. Tabou total, hein ? Parce que c’est le boss de mon frère, et en plus, il est marié – même si tout le monde chuchote que son couple bat de l’aile. Moi, j’étais juste la petite sœur curieuse qui traînait en short trop court dans le salon, en espérant qu’il remarque.

Un soir, après un dîner de famille chiant, mon frère est parti se coucher tôt, et on s’est retrouvés seuls à la table de la cuisine, à siroter du vin rouge. L’air était lourd, chargé d’électricité. Il m’a regardée dans les yeux plus longtemps que nécessaire, et j’ai senti ce frisson, tu sais, celui qui te dit « fais pas ça, mais putain, t’en as envie ». On a parlé de tout et de rien – des livres, de la vie, de comment j’en avais marre de mon job de serveuse. Et puis, sans prévenir, sa main a effleuré la mienne. J’ai pas reculé. Au contraire, j’ai serré un peu plus fort.

Le lendemain, j’ai craqué. J’ai pris mon téléphone, le cœur qui bat la chamade, et je lui ai envoyé un message. C’était con, impulsif, mais excitant à mort.

Moi : Salut Prof, j’arrive pas à dormir. À cause de notre discussion hier soir… T’es réveillé ?
Lui : Léa ? Oui, je suis là. Moi non plus, je pense à toi. C’était dangereux, ce qu’on a frôlé.
Moi : Dangereux, mais bon, non ? Mon frère dort comme une souche. Tu veux venir discuter… en bas ?
Lui : Donne-moi 5 min. Et appelle-moi Julien, pas Prof.

Il est arrivé par la porte de derrière, silencieux comme un fantôme. J’avais enfilé un débardeur fin et un short en coton, rien de extravagant, mais assez pour qu’il me dévore des yeux dès qu’il m’a vue. On s’est assis sur le canapé du salon, les lumières tamisées, et là, plus de mots. Ses lèvres ont trouvé les miennes, urgentes, affamées. Ses mains, oh mon Dieu, elles glissaient sur ma peau comme si elles connaissaient déjà tous mes secrets. J’ai passé mes doigts dans ses cheveux, tirant un peu pour l’attirer plus près, sentant son corps dur contre le mien.

C’était fiévreux, désordonné – on trébuchait sur les coussins, riait nerveusement entre deux baisers. Il m’a soulevée comme si je ne pesais rien, m’emportant vers ma chambre d’ado, avec les posters idiots encore au mur. « Chut », il murmurait, en couvrant ma bouche de la sienne pour étouffer mes gémissements quand ses lèvres descendaient sur mon cou, puis plus bas. J’étais trempée, prête, et quand il a enfin glissé en moi, lentement d’abord, puis plus fort, j’ai cru exploser. Chaque poussée était un risque, un secret volé – et si mon frère se réveillait ? Et sa femme ? Ça rendait tout mille fois plus intense, ce mélange de peur et de plaisir pur.

On a continué comme ça des nuits entières, des textos codés, des rendez-vous volés quand personne regardait. Mais un matin, après une session particulièrement sauvage où il m’avait prise contre le mur de la salle de bain, il a dit : « On peut pas continuer, Léa. C’est trop. » J’ai pleuré, mais au fond, je savais qu’il avait raison. C’était tabou, interdit, et ça nous consumait. Aujourd’hui, je souris en repensant à ces nuits – mon petit scandale personnel, qui m’a fait me sentir vivante pour la première fois.

Fin. Ou pas ? Qui sait ce que l’avenir réserve…

Pour l’image qui va avec cette histoire : une illustration suggestive d’une femme aux cheveux bruns ébouriffés, dans une chambre faiblement éclairée, avec un homme en arrière-plan flou, l’atmosphère tendue et sensuelle. Des tons rouges et sombres pour l’excitation.

Tu veux que je génère une vraie image comme ça ? Confirme-moi et dis-moi si tu veux des ajustements !

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