coucou, c’est moi, léa. j’ai 26 ans, je bosse comme graphiste freelance, mais le soir, j’aime bien traîner dans les bars du quartier pour décompresser. ma vie amoureuse ? un vrai désert ces derniers temps. des rencards foireux, des mecs qui parlent plus de foot que de moi… jusqu’à vendredi dernier. j’étais sortie avec une copine, on voulait juste boire un verre ou deux, danser un peu sur de la musique électro. et là, derrière le comptoir, y avait ce barman. grand, musclé, avec des cheveux en bataille et un piercing à la lèvre qui me rendait dingue. il s’appelait max, d’après son badge. chaque fois qu’il me servait un shot, ses doigts effleuraient les miens, et je sentais déjà un truc chaud monter en moi.
ma copine a fini par partir avec un type qu’elle avait chopé sur la piste, me laissant seule avec mon verre et mes fantasmes. max m’a souri, genre « t’as l’air d’avoir besoin d’un truc plus fort », et on a commencé à papoter. il était drôle, un peu arrogant, mais putain, sexy à mort. on a parlé de tout : des cocktails les plus bizarres qu’on avait bus, des tatouages qu’on voulait se faire. et petit à petit, la conversation a glissé vers des trucs plus perso. genre, ce qu’on aimait en amour. moi, j’ai avoué que j’adorais les mecs qui prennent les devants, qui te font perdre la tête sans demander la permission.

j’ai rougi comme une tomate, mais j’ai pas détourné le regard. au contraire, j’ai penché la tête, mordillé ma paille, et répondu d’une voix un peu rauque. le bar se vidait doucement, la musique baissait, et lui, il a fermé plus tôt que d’habitude. « viens, on continue chez moi », il a dit en me tendant la main. j’ai hésité deux secondes, max trois, puis j’ai suivi. son appart était juste au-dessus du bar, un petit studio avec des murs en briques et un lit immense qui trônait au milieu. à peine la porte claquée, il m’a embrassée. pas un bisou timide, non, un vrai baiser vorace, sa langue qui explorait ma bouche pendant que ses mains descendaient sur mes fesses, me pressant contre lui.
je sentais son érection contre mon ventre, dur et impatient, et ça m’a fait gémir direct. il a ri doucement contre mes lèvres, « t’aimes ça, hein ? », et il m’a soulevée pour m’asseoir sur le bord du lit. ses doigts ont défait les boutons de mon chemisier un par un, lentement, en me regardant dans les yeux. mes seins se sont libérés, et il a grogné de plaisir en les prenant en bouche, suçant un téton pendant que l’autre était pincé entre ses doigts. j’ai arqué le dos, les mains dans ses cheveux, le tirant plus près. « putain, max, t’es trop bon… », j’ai murmuré, la voix tremblante.
il m’a fait tomber sur le dos, enlevant mon jean d’un geste fluide, et s’est agenouillé entre mes jambes. sa barbe râpait mes cuisses intérieures, envoyant des frissons partout. quand sa langue a touché mon clito, j’ai cru exploser. il léchait avec une lenteur exquise, alternant succions et petits coups de langue, pendant que deux doigts glissaient en moi, courbés juste comme il faut. j’étais trempée, haletante, mes hanches qui se soulevaient pour en avoir plus. « t’es si sensible, bébé », il a dit en relevant la tête, les lèvres luisantes. j’ai pas pu répondre, juste gémir plus fort quand l’orgasme m’a traversée comme une vague.
il s’est redressé, enlevant son t-shirt pour révéler un torse tatoué et musclé qui m’a fait baver. son pantalon a suivi, et son sexe est sorti, impressionnant, prêt à l’action. il a enfilé une capote vite fait, puis s’est positionné au-dessus de moi, entrant d’un coup profond qui m’a fait crier. on a trouvé un rythme vite, sauvage, ses coups de reins puissants qui me remplissaient complètement. je griffais son dos, mordais son épaule, et lui, il murmurait des trucs sales à mon oreille : « t’es à moi ce soir, si serrée, si parfaite… ». on a changé de position, moi à califourchon, chevauchant comme une folle, mes seins qui rebondissaient pendant qu’il me tenait les hanches. l’orgasme est revenu, plus fort, me laissant tremblante, et il a joui juste après, un grognement rauque en se crispant en moi.
on a atterri en tas sur les draps froissés, en sueur et essoufflés. le lendemain, en descendant pour un café, il m’a fait un clin d’œil coquin. « reviens quand tu veux, léa. la maison est toujours ouverte pour toi. » et moi, je souris en repensant à tout ça. cette soirée au bar ? la meilleure de ma vie. et j’ai déjà hâte d’y retourner.