Moi, Julie. Tu sais, j’ai 32 ans, mariée à Marc depuis 5 ans, et franchement, notre vie sexuelle c’était devenu un peu… routinier, tu vois ? Genre, on fait l’amour le vendredi soir après le dîner, lumières éteintes, et hop, dodo. Mais y a quelques semaines, tout a basculé. J’ai commencé à remarquer notre nouveau voisin, Alex. Il est grand, musclé, avec ces tatouages qui dépassent de ses t-shirts moulants quand il tond la pelouse. Moi, je faisais semblant de jardiner pour l’espionner un peu. Et un jour, nos regards se croisent, il me sourit, et bam, mon cœur s’emballe comme une ado.
Le soir même, je suis sur mon téléphone, en train de scroller bêtement sur Insta, quand je vois qu’on a un ami en commun. Je me dis « pourquoi pas ? », et je lui envoie un message innocent. Genre, pour l’accueillir dans le quartier. Et là, ça part en vrille super vite. On discute toute la nuit, et je sens cette chaleur monter en moi, tu sais, celle qui te fait serrer les cuisses sous la couette pendant que ton mari dort à côté.
Lui : Haha merci Julie ! T’es la première à me parler comme ça, les autres ont l’air de me snober. Et toi, t’as l’air sympa… et canon sur ta photo de profil. Qu’est-ce que tu fais ce soir ? Une bière sur ma terrasse ?
Moi : Oh arrête, tu vas me faire rougir ! Marc est déjà couché, il bosse tôt demain. Mais… pourquoi pas 5 minutes ? Juste pour papoter.
Lui : 5 minutes, promis. Porte d’entrée ouverte, viens comme t’es.
Je me suis levée sur la pointe des pieds, enfilé un peignoir fin par-dessus mon pyjama, et je suis sortie dans la nuit fraîche. Son jardin était éclairé par une guirlande lumineuse, et il était là, torse nu sous sa véranda, une bière à la main. On a commencé à parler de tout et de rien, mais ses yeux me dévoraient, et moi, je sentais mon corps répondre. À un moment, il s’approche, pose sa main sur ma taille, et murmure « T’es trop belle pour être coincée ici ». J’ai pas résisté. Nos lèvres se touchent, et c’est comme une explosion. Ses mains partout, fortes, possessives. On finit par se coller contre le mur de sa maison, et je gémis son nom pour la première fois.
Le lendemain matin, je rentre chez moi, les jambes tremblantes, avec cette culpabilité qui mélange à l’excitation la plus folle. Marc me demande si j’ai bien dormi, et je mens en souriant, en repensant à comment Alex m’a prise, comment il m’a fait jouir comme jamais. Et le pire ? J’ai envie d’en parler à Marc. Pas tout, mais juste assez pour le voir bander en imaginant. Parce que ouais, il a toujours eu ce fantasme bizarre du cocu, même s’il le nie. Du coup, ces derniers jours, je lui glisse des indices pendant qu’on baise. « Et si un autre mec me touchait comme ça ? », et il accélère, me plaque plus fort. C’est dingue, excitant à mort. Alex m’envoie des textos torrides toute la journée, et moi je réponds en cachette, en imaginant la prochaine fois où je le chevaucherai pendant que Marc est au boulot.
Hier soir, on a remis ça. Il m’a emmenée dans sa chambre, m’a attachée les mains avec sa ceinture, et m’a fait supplier. J’étais trempée, en transe totale. Et quand je suis rentrée, Marc m’a prise direct dans l’entrée, comme s’il sentait l’odeur d’Alex sur moi. C’était bestial, parfait. Je sais pas où ça va mener, mais putain, j’adore ce frisson. Si t’as déjà vécu ça, raconte-moi… ou imagine-toi à ma place. Ça te fait bander, hein ?
Pour l’image qui va avec cette histoire – une scène intime et suggestive, genre moi sous la véranda avec lui, lumière tamisée – est-ce que tu veux que je génère une image AI pour illustrer ça ? Confirme-moi et je m’en occupe !