Mon frère m’a baisé quand j’ai retiré ma toge d’avocate

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Histoire-de-sexe

Anonyme, stp. J’ai 26 ans, et je suis avocate stagiaire dans un cabinet du centre-ville – ces journées interminables à plaider des cas chiants, à porter des tailleurs stricts qui cachent à peine mes courbes, mais qui me laissent l’esprit vagabonder vers des interdits que personne ne soupçonnerait. Chez nous, la famille est un bordel depuis que Maman est partie avec son amant, laissant Papa, mon grand frère et moi dans cette maison trop chargée de souvenirs. Mon frère, il a 28 ans, ce mec baraqué qui bosse comme mécano, avec ses mains calleuses et son sourire en coin qui me faisait déjà mouiller ado. Au début, c’était des blagues complices, des regards qui s’attardent un peu trop sur ma nuisette le matin, mais putain, un week-end où Papa était absent pour un voyage d’affaires, tout a basculé en un feu d’artifice tabou.

C’était agréable de s’abandonner à ce moment de plaisir sans avoir à se soucier de quoi que ce soit : vivant sous le même toit, notre désir l’un pour l’autre suffisait. On était seuls, la maison vide résonnant de nos rires forcés pour masquer la tension. J’étais en train de préparer un café dans la cuisine, en shorty et débardeur moulant qui laissait deviner mes tétons durs sous le tissu fin – bordel, je le faisais exprès, à me pencher un peu trop pour attraper les tasses, sentant ses yeux brûler sur mon cul rebondi. Il s’est approché par derrière, soi-disant pour m’aider, mais ses mains ont glissé sur mes hanches, fermes, possessives. « T’es belle comme ça, frangine », qu’il a murmuré à mon oreille, sa voix rauque envoyant des frissons direct dans mon bas-ventre.

Dans ma tête, je me disais : « Arrête, c’est ton frère, t’es une perverse finie, mais putain, continue, touche-moi plus. »Je me suis retournée lentement, nos visages si proches que je sentais son souffle chaud sur mes lèvres. Pas de mots inutiles ; nos bouches se sont écrasées l’une contre l’autre, un baiser vorace, langues qui dansent avec une urgence refoulée depuis des années. Ses mains ont remonté mon débardeur d’un coup sec, exposant mes seins lourds, et il les a empoignés comme s’ils étaient à lui depuis toujours – pinçant les tétons entre ses doigts rugueux, me faisant gémir dans sa bouche. « T’es si douce, si parfaite », qu’il a grogné, et moi, je fondais, ma chatte déjà trempée contre son jean tendu. On a titubé jusqu’au salon, trébuchant sur le tapis, et il m’a plaquée contre le mur, arrachant mon short d’un geste brutal qui a déchiré le tissu – ouais, cru comme ça, sans chichis.À genoux maintenant, il a écarté mes cuisses d’un coup de genou, son regard affamé sur ma fente rasée, luisante de désir.

« Regarde comme t’es mouillée pour moi, petite sœur », qu’il a dit avec un sourire diabolique, et avant que je réponde, sa langue a plongé en moi, lapant avidement, suçant mon clito gonflé comme un fruit mûr. Oh merde, c’était électrique – ses doigts qui s’enfoncent en moi, courbés pour frapper ce spot qui me fait voir des étoiles, pendant que je tire sur ses cheveux, haletante : « Oui, lèche-moi, frangin, fais-moi jouir. » Dans ma tête, ça tournait : « T’es une salope incestueuse, à te faire bouffer par ton propre frère, et t’en redemande – assume, c’est trop bon pour arrêter. »Il s’est relevé, déboutonnant son jean pour libérer sa queue massive – veinée, courbée vers le haut, avec ce gland violacé qui palpait déjà. Pas de capote, rien que la peau brute, tabou pur. Il m’a soulevée comme une plume, mes jambes enroulées autour de sa taille, et s’est enfoncé en moi d’un coup puissant, étirant mes parois serrées autour de son épaisseur.

« Putain, t’es étroite », qu’il a gémi, et on a commencé à bouger, mes ongles qui griffent son dos musclé pendant qu’il me pilonne contre le mur, chaque poussée claquant avec un bruit humide. Je sentais tout : la friction qui chauffe mon clito, la façon dont il cogne au fond, pile sur ce point sensible qui me fait trembler. « Baise-moi plus fort, grand frère, marque-moi », que j’ai supplié, la voix brisée par les gémissements.On a changé de position, lui assis sur le canapé, moi à califourchon sur lui, chevauchant sa bite comme une possédée. Mes seins rebondissaient devant son visage, et il les a sucés avidement, mordant juste assez pour que la douleur se mélange au plaisir.

Ses mains agrippaient mes fesses, les écartant pour plonger plus profond, et je grindais contre lui, sentant l’orgasme monter comme une tempête. « Je vais venir, oh bordel », que j’ai crié, et il a accéléré, ses hanches qui remontent pour me rencontrer à mi-chemin. La vague m’a submergée – un spasme violent qui contracte tout mon corps autour de lui, mes jus qui coulent sur ses couilles, me laissant pantelante contre son torse.Mais il n’avait pas fini ; il m’a retournée à quatre pattes sur le tapis, entrant en moi par derrière avec une brutalité animale. « T’es à moi maintenant, frangine », qu’il a grogné, claquant mes fesses rougies d’une main pendant que l’autre tire mes cheveux pour me cambrer. Chaque coup de reins était plus profond, plus cru, ses couilles qui tapent contre mon clito encore sensible, ravivant les flammes. Dans ma tête, je hurlais : « T’es foutue, une vraie chienne pour ton frère, et putain, c’est l’extase. »

Il a tenu bon, suant, grognant, jusqu’à ce que je sente sa queue gonfler en moi – « Je vais te remplir », qu’il a annoncé, et il l’a fait, se vidant en jets chauds, abondants, qui débordent et coulent le long de mes cuisses.On s’est effondrés ensemble, haletants, collés dans cette sueur partagée, son sperme qui fuit lentement de moi comme une marque indélébile. Il m’a embrassée doucement, un baiser qui mélangeait tendresse et vice, et on a ri nerveusement de ce qu’on venait de faire. « C’était mal, mais nécessaire », qu’il a murmuré, et moi : « Ouais, et on recommencera. » Depuis, on vole ces moments sous le toit familial, quand Papa dort ou sort, alimentant ce feu tabou qui nous consume. Franchement, en y repensant au bureau, ça me fait mouiller direct

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